Voyous, racailles, chance pour La France (dixit la Taubira)

Le 04/05/2013

Michel.D : «J’ai retrouvé ma caravane volée dans un camp de Roms»

 

C’est la mésaventure arrivée à Michel Duchene, un habitant du quartier villeneuvois du Triolo. Celui qui est aussi conseiller de quartier a rejoint un collectif d’habitants qui dénoncent la hausse de la délinquance au Triolo, qu’ils lient aux Roms.

 

 

La grogne monte chez les riverains tandis que les usagers du campus pointent un sentiment d’insécurité dans les stations de métro Cité scientifique et 4 Cantons.

 

« Mon voisin m’a appelé vers 7 h mercredi dernier pour me dire que ma caravane n’était plus dans l’allée ». Michel Duchene est en colère : dans la nuit du 23 au 24 avril, on a cisaillé le cadenas de son portail en fer forgé de l’allée du Troubadour, et emporté sa caravane, stationnée sur vérins. [...]

 

Un voisin leur a dit avoir aperçu trois jeunes Roms faire le tour du quartier, la veille.

 

Les Duchene ont alors fait le tour des camps de la métropole. « Je l’ai retrouvée le vendredi, porte d’Arras à Lille. Je l’ai reconnue de loin grâce aux pressions que j’avais rajoutées sur les flancs. J’ai aussitôt composé le 17 et la police est arrivée » [...]

 

La Voix du Nord

Le 29/04/2013

Collision mortelle dans le Pas de Calais : c'était un règlement de compte.

Six personnes ont été interpellées dans la nuit de dimanche à lundi et placées en garde à vue, après une collision probablement volontaire par deux voitures ayant fait un mort et deux blessés, dont l'un très grave, près de Saint-Omer, a-t-on appris auprès des gendarmes.

 

Dans un premier temps, la gendarmerie avait annoncé la mort de deux frères. "Le deuxième frère n'est pas mort, mais son pronostic vital est engagé", a-t-on indiqué à l'AFP.

 

Le deuxième frère est "entre la vie et la mort", a indiqué de son côté le parquet de Saint-Omer.

 

L'enquête, confiée à la gendarmerie, s'oriente vers un guet-apens consécutif à "une transaction entre particuliers sur une automobile qui traînait depuis quelques mois" et aurait dégénéré.

 

Un incident dimanche après-midi au centre ville de Saint-Omer aurait mis le feu aux poudres et "provoqué une course poursuite", a encore indiqué la gendarmerie.

 

Les deux frères, âgés d'environ 22 et 24 ans, ont été percutés alors qu'ils venaient de se garer devant chez eux à Eperlecques (Pas-de-Calais) et se trouvaient debout sur la chaussée. Un troisième homme, qui se trouvait avec les deux frères, a également été blessé et hospitalisé, mais il est rapidement sorti de l'hôpital selon le parquet.

 

Les six personnes placées en garde à vue, âgées d'une trentaine d'années, et également pour la plupart d'Eperlecques, sont défavorablement connues des services de police. "Certaines d'entre elles se sont constituées prisonnières, en se rendant volontairement à la brigade de gendarmerie de Saint-Omer", a-t-on encore précisé de même source.

 

Les agresseurs présumés avaient pris la fuite après la collision, mais un important dispositif de recherche, avec notamment un hélicoptère, avait été mis en place.

 

Ils pourraient être déférés devant un juge d'instruction dans les prochaines heures pour "homicide volontaire et tentative d'homicide volontaire", a-t-on estimé de source proche de l'enquête. Il leur est reproché d'avoir foncé volontairement sur les victimes.

 

Selon le parquet, l'enquête doit déterminer la responsabilité de chacun, notamment qui étaient les conducteurs, ce qui pourrait s'avérer difficile.

Le 24/04/2013

Ne dites pas que les « coupeurs de route » de l’A13 sont noirs…

Lu sur Boulevard Voltaire

 

François
Jourdier

Contre-amiral (2S), ingénieur en énergie nucléaire.
 
 
 
 
 
 
 
 

On vient de juger les dix accusés de l’assassinat de Mohamed Laidouni sur l’autoroute A13 le 27 juin 2010, à la suite d’un banal accrochage.

 

La conductrice du véhicule responsable, non assuré, avait refusé d’établir un constat amiable et appelé à la rescousse ses copains de la cité voisine des Mureaux. Ils étaient venus en nombre.

 

L’un avait déclaré : « Vous voulez faire les Français, vous êtes morts, ici on est chez nous ! » et « On va vous tuer, vous enterrer devant votre mère… » Ce qu’ils ont fait à coups de pied.

 

Quatre ont été condamnés pour « homicide volontaire » et trois pour « violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner » à des peines allant de cinq à vingt ans de prison. La conductrice a écopé de quatre ans.

 

Mais avez-vous lu dans les grands médias qu’il s’agissait de « subsahariens », pour certains issus de familles polygames ? Avez-vous vu quelque part les noms des coupables ?

 

Nous en sommes là.

 

Des « coupeurs de route », comme en Côte d’Ivoire, ont colonisé des cités. Et ne supportent pas qu’on y intervienne.

 

Rappelez-vous les « attaques de diligence » de Grigny… où il n’y a pas de coupable.

 

Quant aux médias, c’est simple : ils occultent systématiquement le caractère racial et culturel de ces exactions. Dormez, braves gens, l’ordre règne !

 

François Jourdier, le 23 avril 2013

Le 24/04/2013

Attaque du RER D à Grigny : surprenante relaxe de Mohammed, pourtant formellement reconnu : la non-explication et le coup de sang du petit roquet catalan.

 

Le parquet avait requis contre le prévenu deux ans de prison. Il a pourtant été relaxé au bénéfice du doute, alors qu’un des voyageurs agressés et un policier l’avaient reconnu.

 

 

 

Une seule des victimes s’est présentée à l’audience.

 

Cédric, la quarantaine, costaud et le regard déterminé, n’est pas, de toute évidence, de ceux qui se laissent impressionner par des voyous. Quand l’un d’eux veut, ce 16 mars, s’emparer de son portable, il se défend. Plusieurs assaillants lui tombent alors dessus.

 

Mais, gagné par la peur, il se trompe d’escalator. Au lieu de prendre celui qui le fait remonter à la surface, il prend celui qui le ramène à ses agresseurs. «L’un d’eux m’a donné des coups de poing, de pied dans le ventre», raconte-t-il. Depuis, il a déménagé pour ne plus passer par Grigny.

 

Cédric est formel. C’est bien Mohammed, le seul jeune majeur qui comparaissait, qui l’a frappé. En doudoune bleue électrique et en bas de survêtement à l’audience, ce dernier a par ailleurs été reconnu sur les images par un policier, venu le confirmer à la barre.

 

Le 12/04/2013

Un dangereux agitateur est expulsé manu-militari du jardin du Luxembourg par la force publique.

Le petit teigneux de Valls, l'a dit, il ne tolèrera aucune zone de non droit.

 

La force restera a la loi.

Le 12/04/2013

Vidéo : la bande Mafia Grigny Danger qui a attaqué le RER D à Grigny

 

 

 

Un des lecteurs de Dreuz m’a fait parvenir un vidéo-clip de rapp où l’on voit la bande de petites racailles qui se fait appeler Mafia Grigny Danger, et qui est probablement, selon la DDSP (Direction départementale de la sécurité publique), responsable de l’attaque du RER D et de l’agression et du vol les voyageurs en mars dernier

 

La DDSP soupçonne également ceux que l’élite des salons nomme « chance pour la France » de se livrer depuis peu à des vols avec violence, et plusieurs braquages.

Voici leur têtes de victimes, selon Philippe Rio, maire PCF de de Grigny, qui martèle La Vérité au quotidien Le Monde: « Ces mômes-là sont en danger ».

 

Qui oserait douter que ces pourritures de passagers du RER D dont certains disaient : « j’ai pris un coup de poing et du gaz lacrymogène dans les yeux. Ils ont arraché le sac à main de mon amie » (3) , les mettent en danger.

 

Sentiment partagé par un juge du tribunal correctionnel particulièrement sévère et qui a remis en liberté le seul majeur de 18 ans de la bande, et lui a ordonné d’aller au lycée à l’heure ! « Si vous êtes en retard en cours, cela pourra être considéré comme une violation de votre contrôle judiciaire, et vous pourrez être placé en détention », a même menacé le président du tribunal qui avait noté que l’élève cumulait 185 heures d’absence depuis la rentrée…

 

Qui douterait, en voyant cette vidéo, que ce sont les paroles de fermeté dont ces petits voyous ont besoin, venant des représentants de l’autorité publique.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

Le 08/04/2013

Le vrai coût de l'insécurité en France.

La délinquance est une question si explosive et si polémique qu’aucun expert n’ose en évaluer la facture. Celle-ci s’élève pourtant à plusieurs milliards par an...

Cliquer pour agrandir l'image

Le 05/04/2013

17km de câble volé : circulation des trains perturbée sur la ligne Nancy-Strasbourg

 

En raison d'un acte de malveillance entre Lunéville (54) et Igney (88), la circulation des trains entre Nancy et Strasbourg aller et retour est perturbée.

  • Par Jean-Christophe Dupuis-Remond
  • Publié le 05/04/2013 | 09:25, mis à jour le 05/04/2013 | 09:31

© France Télévisions Lorraine.

 
Vendredi 05 avril 2013, la SNCF Lorraine annonce sur son site internet que ses agents ont constaté un important acte de malveillance, en l'occurence un vol de câble sur une longueur de 17 km entre Lunéville en Meurthe-et-Moselle et Igney (Vosges).

La circulation des trains entre Nancy et Strasbourg, aller et retour, est fortement impactée avec des retards de 30 à 40 minutes toute la matinée.

Le 21/03/2013

Avignon : dans un fauteuil à vie après une agression.

"Finissons cette face de craie."

 

Cette phrase résonne encore et fait mal à Serge Juillard qui jamais n'aurait pensé que des ados et des enfants puissent avoir une telle haine et faire preuve d'une telle violence envers une personne qui ne demandait rien et ne leur avait rien fait..

 

Le 7 janvier 2009, Serge Juillard, qui rentrait chez lui a été ralenti par un embouteillage dû à la neige. Au niveau de la Barbière, des jeunes de la cité s'amusaient à lancer sur les voitures des boules de neige "farcies avec des pierres".

 

Après avoir entendu un choc, M. Juillard est sorti constater les dégâts. Il a alors été victime d'une agression sauvage. Une dizaine de jeunes l'ont insulté, fait chuter au sol et l'ont passé à tabac.

 

"Ils m'ont crucifié"

 

 Cet homme , atteint d'un handicap, se souvient que des jeunes lui ont baissé son pantalon avant de lui porter des coups de pieds dans les parties génitales.

 

"J'ai essayé de faire le mort mais vous savez c'est difficile", témoigne avec une vive émotion M. Juillard, aujourd'hui cloué dans un fauteuil roulant.

 

"Ils m'ont bourré la bouche avec de la neige, j'arrivais plus à respirer.

 

C'était vraiment pas la bonne forme. Et puis il y a eu la tournante : ils m'ont crucifié.

 

Ils me tenaient par les bras et les jambes et ils m'ont frappé avec une barre de fer. J'ai reçu le premier coup dans la tête".

 

Aujourd'hui, son quotidien, ce sont des crises et des souffrances terribles qu'il soulage avec de la morphine et le soutien indéfectible de son épouse.

 

Une dizaine de suspects ont été interpellés mais seulement trois ont été renvoyés devant le tribunal pour enfants. "Les plus âgés ne sont pas jugés et c'est pas normal", estime la victime alors que trois mineurs, assistés de Me Jacquemin, sont jugés devant le tribunal pour enfants.

 

Deux d'entre eux, âgés au moment des faits de 14 et 16 ans, ont écopé de six mois de prison dont trois ferme.

 

Le plus jeune, qui avait 12 ans, est astreint à une mesure de réparation. Une nouvelle expertise de M. Juillard, assisté de Me Gontard, est ordonnée.

 

Bruno Hurault

Le 20/03/2013

Le vol de câbles, une facture trimestrielle de 700 000 euros pour France Telecom.

Les vols de cuivre se multiplient depuis quelques années avec l'envolée des cours des métaux. La semaine dernière, dans le Morbihan, 5 personnes ont été arrêtées en flagrant délit. Cette fois, ils s'en prenaient aux câbles téléphoniques.

 

  • Par Stéphane Grammont
  • Publié le 19/03/2013 | 18:00, mis à jour le 20/03/2013 | 10:09
Retour sur un flag. C'était vendredi dernier en comparution immédiate, cinq hommes d'origine roumaine étaient condamnés vendredi en comparution immédiate à un an de prison ferme. Ces interpellations étaient le résultat d'un important travail d'enquête et de renseignements. Le but : enrayer ce que l'on connaît déjà pour les chantiers de construction : la recrudescence des vols de matériaux.

"Depuis un an et demi il y a eu 250 vols de câbles dans les Pays-de-la-Loire, et 40 à 50 dans le Morbihan" précise Jacques le Compagnon, directeur d'Orange dans le Morbihan.

Le 20/03/2013

Ile-de-France: 150 crimes et délits par jour sur le réseau ferré.


Créé le 20/03/2013 à 13h04 -- Mis à jour le 20/03/2013 à 14h04

 

Des policiers dans un bus parisien, le 9 novembre 2009 —HADJ/SIPA

 

SECURITE - Cela représenterait, chaque année, environ 10.000 faits dans le bus et plus de 55.000 dans le RER ou le métro...

La violence est toujours sur les rails. Après l'attaque d'une rame du RER D, samedi au niveau de la gare de Grigny (Essonne), Le Figaro annonce même, ce mercredi, une recrudescence de l'insécurité dans les transports en commun, pointant une augmentation de 1,7% des crimes et délits dans le réseau ferré d'Ile-de-France et de 18% dans les bus.

A ce rythme, estime le journal, cette évolution correspondrait à environ 10.000 de faits de délinquance déclarés dans les bus et plus de 55.000 dans le métro ou le RER sur un an. Soit environ 150 crimes et délits par jour. Cela représenterait ainsi plus de 40 vols à la tire par jour en moyenne, uniquement sur le réseau ferré.

Les indicateurs passent au rouge


Concernant les actes de violence, leur évolution est plus contrastée, indique Le Figaro. Les vols avec violence, qui seraient souvent liés au phénomène de bandes, avaient plutôt tendance à diminuer en 2012 (environ 6% sur onze mois). Mais dans le même temps, les agressions contre le personnel des rames montaient en flèche, avec une augmentation de 25% pour la RATP et de 50% à la SNCF.

En janvier 2013, tous les indicateurs seraient ainsi passés au rouge dans les réseaux ferrés d'Ile-de-France, sauf pour les dégradations volontaires et les atteintes sexuelles. Les vols à la tire auraient même crû de 43% en un mois et les vols simples de 25%.

Chaque mois, la Seine-Saint-Denis ou les Hauts-de-Seine recensent ainsi deux fois plus de faits délictueux que le département de l'Essonne, où a eu lieu l'attaque du RER. Mais Grigny serait un point de fixation des bandes parmi les plus dures d'Ile-de-France, estime Le Figaro. En 2005, lors des émeutes, des dizaines de policiers avaient été blessés à la cité de la Grande Borne.

M.Gr. pour 20Mn

Le 19/03/2013

Un RER attaqué dans l'Essonne .

 

AFP  publié le 18/03/2013 à 18:29
 

Un groupe d'une vingtaine de jeunes a attaqué une rame du RER D samedi au niveau de la gare de Grigny-Centre dans l'Essonne, agressant plusieurs passagers, indiquent aujourd'hui des sources concordantes. Samedi vers 22 heures, entre 20 et 30 personnes ont attaqué un RER stationné en gare de Grigny-Centre. Ils sont entrés dans la rame et s'en sont pris aux gens qui s'y trouvaient pour les forcer à leur remettre portables et argent, a expliqué une source policière. Une dizaine de personnes ont été agressées.

"J'étais dans le RER en direction de Corbeil-Essonnes, et à Grigny nous avons entendu beaucoup de bruits et de cris et nous avons vu des gens courir sur les quais", a déclaré un jeune homme sous couvert d'anonymat. Après avoir tiré le signal d'alarme, les jeunes gens, qui avaient le visage dissimulé, sont passés de wagon en wagon et ont attaqué "le plus de monde possible", a-t-il expliqué. "Moi j'ai pris un coup de poing et du gaz lacrymogène dans les yeux. Ils ont arraché le sac à main de mon amie et m'ont pris mon argent. C'était rapide, violent et cela avait l'air très organisé", a ajouté ce jeune homme, étudiant à Evry.

"Cela ressemble à une attaque de diligence de l'époque moderne", a estimé la source policière. "De cette ampleur, ce n'est pas habituel." Le commissariat de Juvisy a été chargé de l'enquête.

Le 18/03/2013

Marseille : une sociologue au secours des voyous.

 

Boulevard Voltaire

 

Robert Ménard
 

 


Alors que les règlements de comptes ravagent Marseille sur fond de guerre entre dealers. Alors que l’envoi de 300 CRS, policiers et gendarmes mobiles ne semble pas suffisant pour venir à bout des voyous de la cité phocéenne.

 

Alors que la liste s’allonge des malfrats abattus à la kalachnikov, au fusil à pompe ou carbonisés dans leur voiture : Khemessi Amari, Aissa Lanane, Hichem Agaba, Rochdi Gharbi… (sans commentaire). Alors que, à juste raison, chacun s’interroge sur la meilleure manière de venir à bout de cette violence, d’autres, à Marseille toujours, tiennent de drôles de discours… Jugez vous–mêmes.
 
Interrogée par Le Parisien, une dénommée Claire Duport, sociologue de son état, spécialiste de « l’univers urbain à Marseille », explique à propos du marché du cannabis : « C’est d’abord une économie de la pauvreté. Cet argent sert surtout à remplir les réfrigérateurs, à payer le loyer, et à remplir le cartable du petit frère. »

 

 

Eh oui, vous ne le saviez pas, nos dealers marseillais sont des Jean Valjean, des Arsène Lupin, des Robin des Bois, des grands cœurs au service de la veuve et de l’orphelin ! Jamais ils n’achètent de voitures de luxe, jamais ils ne tombent dans les bras d’une Zahia à la façon d’un Ribéry ou d’une Ruby comme de vulgaires Berlusconi.

 

Non, ils ne sont soucieux que des leurs, de l’avenir du petit dernier, de la scolarité de la grande sœur, des fins de mois de la maman. Et d’ailleurs, poursuit notre sociologue, les gamins qui leur servent de guetteurs « n’ont pas l’impression d’être dans l’illégalité. Prévenir les dealers que les flics arrivent, c’est aussi normal pour eux que de faire des appels de phares entre conducteurs. Ils ont le sentiment de rendre service. »
 
La naïveté, l’imbécillité n’ont décidément pas de limites. Avec des « sociologues » de cette trempe, nos dealers n’ont pas besoin d’avocats…

 

Robert Ménard, le 18 mars 2013

Le 13/03/2013

Obertone sur France 3 : « 2/3 des crimes et délits sont commis par des gens issus de l’immigration.

Le 13/03/2013

 

 

Marseille: quartier des bleuets, deux morts dans une fusillade a la kalachnikov .

Marseille / Publié le mercredi 13 mars 2013 à 12H40

 

 

Les premiers éléments de l'enquête sur le double homicide de la cité des Bleuets mettent en évidence la présence de plusieurs hommes encagoulés arrivés dans une Golf Volkswagen et armés de kalachnikov. Ils ont tiré plusieurs dizaines de balles, touchant mortellement deux garçons de 22 et 25 ans.

Un troisième âgé de 18 ans a été touché de deux projectiles au cou et à l'abdomen. Il se trouve dans un état grave à l'hôpital de Laveran.

 

L'un des jeunes hommes décédés est le petit frère d'un dénommé Yazid, tué dans des circonstances similaires au parc Font Obscure, en 2004. La PJ est chargée de cette nouvelle enquête.

Plus d'informations à suivre sur LaProvence.com

Le 05/03/2013

Un voleur de portable rattrapé par un reporter place du Capitole .

 

La victime s'est fait arracher son téléphone sur la place du Capitole./Photo DDM, archives.

 

«Je sortais de boire un verre avec un ami après avoir bien dîné. Et là, juste devant moi, une jeune fille se fait arracher son téléphone par un jeune type qui part en courant. C'était place du Capitole. Je n'ai pas réfléchi. Je me suis à courir derrière lui !»

 

Verres de gaillac et cassoulet, «excellent», n'y changent rien. Malgré ses 53 ans, Erik Bielderman, grand reporter à «L'Equipe Magazine», rattrape le voleur. «Je criais : Arrêtez-le, arrêtez-le ! Un étudiant solide a eu le réflexe de se retourner et de tendre les bras pour le bloquer. J'ai sauté sur le voleur, qui s'est retrouvé à terre, hurlant que le téléphone lui appartenait. Nous avons récupéré le portable avec l'aide d'une autre personne. L'ado en survêtement devait avoir 15 ans. On le tenait.»

 

La scène se passe en fin de semaine dernière «sur la droite de la place du Capitole, dans une rue peu éclairée. Je ne sais pas laquelle. Il était environ 21h30». En quelques secondes, l'ambiance change. «Je tenais mon voleur mais très vite, j'ai été encerclé par un groupe de jeunes maghrébins, ses amis.

 

Impossible d'espérer l'emmener au commissariat. La victime est alors arrivée, folle de rage et en larmes. Elle ne s'est pas laissée faire. Elle leur a tenu tête et leur a lancé : C'est à cause d'imbéciles comme vous que je ne peux pas me promener dans la rue sans me faire traiter de sale arabe ! En une phrase, cette jeune femme a résumé le sentiment de tous ceux qui souffrent d'amalgames racistes.

 

En retour elle a été insultée et menacée. Le monde à l'envers. J'ai demandé à la jeune fille de rejoindre la place du Capitole.

 

Des témoins se sont alors approchés et mon ami est arrivé sur les lieux. Le groupe a continué à se montrer menaçant mais de loin. Et moi je suis rentré à l'hôtel avec une peur rétrospective de voir un couteau sorti et un fond de colère et de dégoût. Dérive d'une société… Et le voleur court toujours.»

 

Depuis Érik Bielderman, est reparti vers d'autres reportages et d'autres villes. Mais toujours en colère.

Jean Cohadon

Le 02/03/2013

Les racailles font la loi sur la rocade a Avignon.

Le chauffeur lamda qui se fait flasher a 60 kmh dans une zone a 50 est considéré comme un assassin en puissance, amende et retrait de points sur le permis au nom de la repression pour la prévention de la violence routière .

 

Mais ici personne ne bouge, pas un képi en vue..

 

Il y en a marre de toutes ces "chances pour la France"

 

On attends quoi ????

Le 02/03/2013

ISERE Montalieu-Vercieu : distributeurs de billets arrachés, interpellations à l’aube.

 

Photo du casse de Dampierre-sur-Salon. Par Walérian KOSCINSKI/Est Républicain

Plusieurs membres de la communauté des gens du voyage installée à Montalieu-Vercieu ont été interpellés hier matin à l’aube. Selon nos informations, ils ont été cueillis au retour d’une escapade nocturne à Dampierre-sur-Salon (Haute-Saône). Vers 3 heures du matin, ils étaient parvenus à arracher, à l’aide d’un camion grue, un distributeur automatique de billets d’une agence Crédit agricole, emportant 22 000 euros. Voilà plusieurs mois que cette équipe spécialisée dans l’arrachage de distributeurs faisait l’objet d’une enquête confiée aux gendarmes de la SR de Lyon sur commission rogatoire de la JIRS de Nancy.

Le 01/03/2013

TOULOUSE: Leur valise contenait 17 kg de cocaïne .

Quatre personnes ont été écrouées mercredi dans la région marseillaise, après avoir été interpellées samedi à Toulouse dans le cadre d’un coup de filet contre un réseau d’importation de cocaïne.

 

“De quoi inonder le marché à Montpellier et à Marseille”

 

Et lors de l’opération, une valise contenant 17 kg de cocaïne, que deux des hommes venaient de récupérer à l’aéroport de la ville rose, a été saisie. “En la coupant, cette drogue aurait permis d’inonder le marché à Montpellier et à Marseille”, a indiqué la police. En cours d’analyse, la drogue venait a priori de République dominicaine et était très pure.

 

L’une des quatre personnes interpellées, Sabri Chorfia, âgé de 30 ans, était déjà bien connu des services de police pour des affaires de drogue. Il est soupçonné de jouer un rôle de premier plan dans le trafic de cocaïne dans la cité phocéenne. Des perquisitions ont été menées, qui ont permis de saisir un fusil à pompe et des pistolets automatiques, ainsi que 7 000 à 8 000 euros en liquide.

 

Deux des personnes interpellées ont été écrouées aux Baumettes, à Marseille, les autres au centre pénitentiaire de Luynes.

Le 01/03/2013

Dix dealers présumés libérés par erreur : la police s'indigne.

L'erreur de calendrier d'un juge a conduit à relâcher les membres présumés d'un important réseau de drogue du Val-de-Marne. La police s'indigne.

 

«Désolant!» La réaction du Syndicat des commissaires de la police nationale ne s'est pas fait attendre. Jeudi, comme l'a révélé RTL, le tribunal correctionnel de Créteil a remis en liberté dix dealers présumés, à la suite d'une erreur de procédure d'un juge d'instruction. Le magistrat a fait une confusion entre deux dates dans le calendrier de sa propre enquête, rendant alors la détention des suspects arbitraire. Et la police ne décolère pas.

 

Ce dossier était pourtant emblématique du «travail de fourmi» des enquêteurs pour faire tomber un réseau de drogue. Et quel réseau! Une fratrie de Champigny-sur-Marne, qui avait mis en coupe réglée la cité des Boullereaux, considérée alors comme la deuxième plaque tournante du trafic de cannabis dans la région parisienne.

 

«Bienvenu à Shitland!»

 

L'un des trafiquants présumés était basé aux Pays-Bas, d'où provenait le cannabis, acheminé par «go fast», ces livraisons par voitures rapides. Les dealers faisaient régner la terreur dans la cité des Boullereaux, où ils avaient inscrit sur les mur «Bienvenu à Shitland!», rackettant les riverains au quotidien, leur faisant payer parfois dix euros pour emprunter l'ascenseur des HLM, leur prélevant même, de temps en temps, une partie de leur courses quand ils rentraient du marché. Le réseau avait été démantelé à l'automne 2011.

 

«Le pire, c'est que ces trafiquants vont revenir parader au nez et à la barbe des témoins, qu'ils pourront les menacer, faire des pressions de toute sorte sur de braves gens et que rien garantit désormais qu'ils se présenteront tous à leur procès prévu en avril», s'indigne un officier de police du Val-de-Marne, écœuré.

 

Deux ans de travail pour la police

 

«On ne jette pas la pierre aux magistrats, nuance le patron du Syndicat des commissaires, Emmanuel Roux, mais cette bévue aura un lourd impact. Alors que les services d'investigation ont tout donné pendant deux ans sur ce dossier», déclare-t-il.

 

«La procédure judiciaire, depuis la loi Guigou et tous ses avatars, est devenue tellement complexe qu'elle fait le jeu des voyous. Et la garde des Sceaux, Christiane Taubira, voudrait en rajouter une couche avec sa conférence de consensus et toutes ces réformes angéliques qui ruinent le travail de la police», renchérit Patrice Ribeiro, le secrétaire général de Synergie-Officiers.

 

Jean-Claude Delage, le secrétaire général d'Alliance (gradés et gardiens), affirme, pour sa part: «Il serait bon que la justice s'applique le même degré d'exigence qu'elle réclame aux policiers. Or cette affaire, qui se résume aujourd'hui à ce que des délinquants présumés attendent tranquillement leur procès dehors, est dans la triste logique de ce que nous prépare la Chancellerie, sous l'impulsion de Mme Taubira, qui ne croit pas aux vertus de l'incarcération». «Alors que dans une telle affaire, la prison a au moins l'avantage d'éviter d'exposer plus longtemps les victimes à ceux qui leur pourrissent la vie», estime un responsable policier du Val-de-Marne.

 

Un dossier «singulièrement fragilisé»

 

Le procès du réseau de «Shitland» doit avoir lieu en avril. Les suspects encourent en principe des peines de prison ferme, mais «le dossier est singulièrement fragilisé», estime un magistrat du Syndicat de la magistrature.

 

L'un des avocats des suspects, Me David-Olivier Kaminski, se réjouit, quant à lui, de la décision du tribunal de Créteil: «Il n'y a pas de scandale, dit-il. Le scandale, c'est de ne pas appliquer la loi. On ne peut pas dire qu'il faille condamner les délinquants avec sévérité si les juges n'appliquent pas la loi. C'est une victoire pour la justice».

 

Le syndicaliste Jean-Claude Delage en appelle, de son côté, à Manuel Valls. «Le ministre de l'Intérieur a demandé depuis des mois, assure-t-il, à sa collègue de la Justice qu'elle reçoive les syndicats de policiers. Or, la garde des Sceaux ne nous a jamais reçus depuis sa nomination.» A l'entendre, le rapprochement police-justice, professé par le gouvernement, serait «à sens unique».

Le 26/02/2013

Argenteuil : une famille séquestrée dans son pavillon.

 

Fr.N. | Publié le 26.02.2013, 11h15

Terrible agression à Argenteuil. Une famille a été victime de quatre malfaiteurs venus chercher de l’argent. L’un d’eux a violé la mère de famille. Les faits se sont produits dans la nuit de vendredi à samedi. Alors que tout le monde est endormi dans le pavillon du quartier des Champioux, à Argenteuil, la bande fait irruption dans les lieux.

 

Il est alors aux alentours de 3 heures. Les malfaiteurs, qui sont de bâtons et qui agissent encagoulés, réveillent la famille, le père et la mère qui sont âgés d’environ 45 ans, et leur fils, un adolescent qui est tout juste âgé de 13 ans.

Selon les premiers éléments recueillis, les agresseurs donnent des coups. Le père de famille est notamment frappé violemment par les malfaiteurs. L’un d’eux va alors beaucoup plus loin : il s’isole avec la mère de famille dans la chambre à l’étage et viole sa victime.

Les victimes ligotées avec des cordes

Les malfaiteurs ont fouillé le pavillon des Champioux de fond en comble afin de mettre la main sur l’argent ou les bijoux du couple. Pour opérer le plus tranquillement possible, les quatre hommes ont ligoté leurs victimes avec des cordes trouvées sur place. Ils ont ensuite pris la fuite en emportant des espèces, dont le montant n’avait pas été précisé hier soir, et des documents personnels. La séquestration aurait duré une heure et demie, les quatre hommes abandonnant les lieux après 4h30 du matin.

Blessés physiquement, mais surtout sous le choc, les trois membres de la famille ont été pris en charge par les secours avant d’être hospitalisés. Les policiers de l’antenne de Cergy de la police judiciaire ont été saisis de l’enquête sur instruction du parquet de Pontoise. Au du week-end, avec le concours des enquêteurs de l’identité judiciaire, ils ont passé le pavillon des Champioux au peigne fin, à la recherche du moindre indice pouvant leur permettre de retrouver la trace des quatre hommes.

Le 26/02/2013

Immigration, insécurité: La France vue par la Hongrie.

Partie 1.

Le 25/02/2013

Mulhouse : cocktails Molotov contre une voiture de police.

 

Alors qu’ils circulaient au volant de leur véhicule dans le quartier mulhousien du Drouot – placé depuis le début de l’année en Zone de sécurité prioritaire – deux policiers ont vu surgir, à l’angle de l’allée Nathan-Katz et de la rue de l’Ill, un groupe d’individus masqués, hier, vers 15 h 15.

 

Deux cocktails Molotov ont alors été jetés à bout portant sur le pare-brise de la voiture, qui s’est enflammé. Heureusement, le feu n’a pas pénétré dans l’habitacle.

 

Très vite, les deux policiers ont donné un signalement des personnes qui les avaient attaqués. Et, 15 minutes plus tard, quatre adolescents correspondant à leurs descriptions ont été interpellés.

 

Les agresseurs avaient entre 12 et 15 ans

 

Ces quatre jeunes, âgés de 12, 13 et 15 ans, ont été emmenés au commissariat où on leur a notifié leur placement en garde à vue. Hier soir, ils devaient être entendus sur les faits, qu’ils ne reconnaissent pas.

 

Cette nouvelle attaque intervient quelques jours après la mise en examen de quatre jeunes dans le cadre de l’attaque, début janvier d’un tramway mulhousien, également à l’aide de cocktails Molotov

Le 21/02/2013

Les policiers tués sur le périphérique avaient 40 et 32 ans.

 AFP

 

Les deux policiers décédés jeudi matin dans un choc effroyable sur le périphérique parisien, après avoir été percutés par un Range Rover, sont Cyrille Genest, 40 ans depuis le 13 janvier et son co-équipier Boris Voelkel, 32 ans.

 

 Le chauffard aurait été en état d'ébriété.

  


Les collègues des policiers tués «sous le choc» et »en colère»
Le troisième policier gravement blessé est Fred Kremer, 34 ans. Ce dernier se trouve dans le coma.

 

Le conducteur de la voiture qui n'aurait pas freiné avant de percuter la voiture de police, selon une source proche de l'enquête, se nomme Malamine Traoré, déjà impliqué dans des vols et petits trafics de stupéfiants. Son passager, Mehdi Bensassou, est inconnu des services de police. Selon les premières informations, ils étaient ivres et le conducteur roulait sans permis.

 

L'accident s'est produit peu avant 6 heures du matin, sur le périphérique intérieur entre la porte de Clignancourt et la porte de la Chapelle, provoquant des embouteillages monstres.

Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls a présenté «ses condoléances aux familles et aux proches des policiers et souhaite que toute la lumière soit faite sur les circonstances exactes de ce drame», a indiqué le porte-parole du ministère.

 

Quant au maire de Paris, Bertrand Delanoë, il a exprimé sa «très vive émotion» et a assuré «l'ensemble des policiers qui servent à Paris, et en particulier les équipes des BAC, de (son) total soutien dans l'exercice difficile de leur métier».