Les banlieues, les voyous et la politique

Le 13/02/2013

Policiers de la bac frappés et encerclés lors d’un contrôle à Avignon.

Midi Libre

Hélène AMIRAUX
12/02/2013, 06 h 00
Une trentaine de jeunes ont surgi de nulle part pour en découdre.
Une trentaine de jeunes ont surgi de nulle part pour en découdre. (Archive)

 

C’est un véritable piège dans lequel les policiers de la bac (Brigade anti-criminalité) d’Avignon ont été pris vendredi en début de soirée avenue Richelieu à Avignon, au cœur de la zone de sécurité prioritaire.

 

Vers 20 h, trois policiers en patrouille décident de contrôler les occupants d’un véhicule qui leur paraît suspect.

 

 En s’approchant, ils reconnaissant une forte odeur de produit stupéfiant. Les quatre individus à bord s’opposent au contrôle et très vite, les policiers sont pris à parti.

 

Une trentaine d'individus encerclent les policiers

 

Des coups partent, un policier est atteint au visage et les assaillants tentent même de ceinturer les agents qui ripostent.

 

Mais bientôt, une trentaine d’individus sortant de nulle part se regroupent autour des policiers et dégradent le véhicule des forces de l’ordre.

 

 Entre-temps, des renforts arrivent, et le groupe se disperse alors rapidement. Malgré la confusion, les policiers de la bac parviendront tout de même "formellement" à identifier deux des protagonistes.

 

 Dans la voiture abandonnée dans leur fuite, les quatre occupants de départ ont laissé un sachet de marijuana. L’enquête est alors lancée pour retrouver les auteurs de ces violences.

 

Ils veulent porter plainte pour violence et finissent en garde à vue

 

Mais hier après-midi, nouveau rebondissement de l’affaire : les deux individus impliqués qui avaient été reconnus par les policiers se présentent au poste de police pour porter plainte pour violence...contre les policiers.

 

 Ils ont été immédiatement placés en garde à vue. L’enquête de police se poursuit notamment dans le but d’identifier les autres personnes impliquées dans cet échauffourée.

 

 Quant aux deux hommes gardés à vue, ils devraient le rester encore aujourd’hui et pourraient être déférés devant le parquet pour violences aggravées, rébellion, outrages et dégradations de bien public mercredi.

Le 24/01/2013

Nuit d'émeute a Mulhouse, la guerre c'est ici et maintenant .

Voyous, racailles, chance pour la France d'après la Taubira !...On attend quoi ????

Le kârcher, vite !...

Le 24/01/2013

Antibes. A 13 ans, il gaze un chauffeur de bus antibois.

 

 

La série noire continue. Après le jet de pierre dans le visage d’un conducteur de bus niçois, un chauffeur d’Antibes a reçu du gaz lacrymogène en pleine figure.

 

 

Son agresseur a été arrêté ce lundi par les enquêteurs de l’unité de recherche judiciaire de la cité des remparts.

 

Il comparaîtra en mars devant le juge des enfants. Car, oui, c’est un mineur. Et même un jeune mineur… Il a seulement treize ans.

 

Un âge qui ne l’empêche visiblement pas de parler comme un gros dur. Face aux policiers, il n’a exprimé aucun regret.

 

À l’entendre, c’est tout juste si le chauffeur n’a

pas eu tort de demander le calme dans son bus.

Le 18/01/2013

Grigny : ils célébraient leurs agressions dans des clips.

 

Grigny (Essonne)


 FLORENCE MÉRÉO ET FLORIAN LOISY (AVEC ST. S ET C. CH.) | Publié le 18.01.2013, 09h52

 

 

 « T’arrête pas au feu de ma ville, mec, si tu tiens à ta vie […]. T’arrête pas au feu, mets pas ton sac sur le siège passager, tu subiras un arraché. Ici, c’est la jungle. » Ce morceau de rap mis en ligne sur Internet par des jeunes de la cité de la Grande-Borne, à cheval entre Grigny et Viry-Châtillon, est aujourd’hui au cœur d’une affaire d’extorsion.

 

 

Sept jeunes, dont des membres de ce groupe de rappeurs baptisé les Blacks Automatik, ont été déférés hier devant le parquet d’Evry. Si trois ont été remis en liberté faute de preuve, trois autres ont été placés en détention provisoire tandis qu’un dernier faisait l’objet d’une mesure d’éloignement. Car ils ne se contentaient pas d’écrire les paroles. Ils sont soupçonnés de les avoir mises en appliquation.
 

Une trentaine de faits extrêmement violents commis « en bande organisée » depuis l’automne leur sont ainsi reprochés. Ces jeunes garçons, âgés de 15 à 19 ans, avaient un procédé bien rodé pour dépouiller essentiellement des femmes. Lever du jour ou tombée de la nuit sur la route en ligne droite de la N445, longeant la Grande-Borne. Une femme s’arrête au feu rouge. En quelques secondes, deux ou trois individus surgissent, brisent sa vitre, arrachent son téléphone portable ou son sac à main.


Vols et passages à tabac

Mais depuis plusieurs semaines, la violence s’était ajoutée aux vols à l’arraché. « Au moins dix des trente faits ont été assortis de violence physique. Des femmes ont été sorties du véhicule, traînées à terre et rouées de coups de pied et poing. Une autre fois, ils s’en sont pris à un ado de 15 ans qui passait à pied. Ils lui ont volé son MP4 en le tabassant ; il n’y avait plus de limite », décrypte un enquêteur. Alertée par la répétition des actes, la sûreté départementale met en place une surveillance accrue.

Dimanche dernier, les voleurs à la portière s’en prennent à… une policière en civil qui passe par-là en voiture. Ils lui donnent plusieurs coups puis lui dérobent son téléphone. La victime prévient ses collègues postés non loin. Les deux malfrats, originaires de la cité, sont interpellés.

Mardi, cinq de leurs camarades étaient à leur tour interpellés. Chez plusieurs d’entre eux, des cartes bancaires, téléphones et MP4 étaient retrouvés. Leurs morceaux où ils chantaient leurs « exploits » font l’objet d’un blog. On y apprend que le groupe s’est monté en 2006. Ils y chantent la confection de bouteille de verre remplie d’essence, les de guerre qu’on trouverait dans le quartier et y donnent un message clair : « Ici, quand ça se complique, t’inquiète, on fait parler les douilles. » Depuis les arrestations, aucun n’a été commis cette semaine.


Le Parisien

Le 17/01/2013

« Toutes les 24 heures en France : 13.000 vols, 2.000 agressions, 200 viols » (RMC).

Publié le 17 janvier 2013 par

Dans Carrément Brunet, le débat tourne autour de la délinquance et son traitement par les médias. Avec Laurent Obertone (« La France orange mécanique ») et Françoise Martres (Syndicat de la magistrature).

 

 

« Il faisait nuit, je ne voyais rien, et deux « minots » de 11 à 12 ans se sont jetés sur moi. Ils ont commencé à me frapper à la tête et au ventre. J’ai vu la haine dans leurs yeux. Ils m’ont mis à terre d’une balayette et les coups ont commencé à pleuvoir de tous les côtés. L’enfer va durer une vingtaine de minutes. Ils ont dû être une quinzaine à me frapper à des degrés divers.

 

Je pense à faire le mort pour qu’ils cessent, mais la douleur me fait hurler. Ils m’ont cassé le fémur et la jambe, et malgré ça, ils continuaient à frapper. Ils me marchaient sur les mains, prenaient même de l’élan pour me mettre des coups de pieds dans les testicules. Leur violence était gratuite. Je me suis vu partir lorsque je les ai entendu se dire : +Finissons cette face de craie+. »

 

 – Laurent Obertone lisant un témoignage dans la Provence

« On me disait que pendant le week-end de l’ouverture pour Marseille, capitale européenne de la culture, il n’y avait eu aucune violence, tout s’est très bien passé, c’était faux ! Les policiers m’ont dit de source sûre qu’il y a eu malheureusement des violences, mais on les tait. » – Chantal

Le 17/01/2012

Toulouse: 70 policiers mobilisés pour interpeller 3 hommes dans des camps de gitans.

 

La police est régulièrement amenée à intervenir au camp de Ginestous./Photo DDM archives 

  

De gros moyens ont été employés ce jeudi matin pour interpeller trois individus dans les camps de gens du voyage de Ginestous et Saint-James, au nord de Toulouse. 70 hommes ont été mobilisés pour cette opération qui fait suite à l’agression de deux policiers par des gens du voyage dans la nuit de mardi à mercredi.

 

L’interpellation des trois individus s’est déroulée vers 6h du matin, sous le projecteur d’un hélicoptère. Des CRS ont sécurisé les abords des deux camps pendant que les policiers sont intervenus, avec l’aide du GIPN et des hommes de la Brigade de recherche et d’intervention.

 

Deux policiers roués de coups dans la nuit de mardi à mercredi

 

Dans la nuit de mardi à mercredi, deux policiers toulousains ont été roués de coups et sévèrement blessés à l'entrée du camp de gens du voyage de Ginestous.

 

Quelques instants plus tôt, trois policiers d’une brigade de nuit du commissariat central avaient pris en chasse une voiture qui roulait tous feux éteints et dont le conducteur refusait d’obtempérer.

 

Les forces de l’ordre ont intercepté le véhicule à l’entrée du camp de Ginestous et interpellé le conducteur. Le passager a quant à lui pris la fuite et est revenu accompagné d’une vingtaine d’individus.

 

 Les résidents des lieux ont alors défoncé les portes de la voiture de police, brisé des vitres et «libéré» le conducteur interpellé en extirpant les policiers de leur voiture. Un des policiers a alors été roué de coups au sol. Il souffre d'un traumatisme crânien. Un deuxième homme a été plus légèrement blessé au visage.

 

Trois individus interpellé ce jeudi matin

 

Le chauffeur du véhicule, qui s'était enfui menottes au poignet, a été interpellé ce matin. Il est âgé de 19 ans.

 

 Deux autres individus, âgés d'une cinquantaine et d'une trentaine d'années, ont également été arrêtés.

 

Il sont soupçonnés d'être impliqués dans les violences commises contre les policiers. Ces trois hommes ont rejoint en garde à vue un quatrième, déjà interpellé et soupçonné de rébellion.

Le 13/01/2013

Marseille : une racaille vise trois policiers et transperce leur voiture.

 

 

Publié le vendredi 11 janvier

 

Les enquêteurs quittaient la cité La Solidarité (15e) après une perquisition

Une cinquantaine de fonctionnaires ont investi la cité La Solidarité, hier matin, juste après le coup de feu tiré contre trois de leurs collègues.

Photo Cyril Sollier

 

 

C'est une cité réputée difficile et dont le seul accès est surveillé en permanence par une équipe de guetteurs. À la Solidarité (15e), sur la colline qui surplombe l'hôpital Nord, pas un seul visiteur inconnu ne franchit le rond-point qui marque l'entrée de l'ensemble HLM sans être dûment contrôlé par les employés des trafiquants de drogue. Et lorsque la police décide d'y débarquer, les réactions peuvent frôler l'insurrection. Hier, une voiture sérigraphiée appartenant à la division Nord a été la cible d'un tir d'arme à feu, devant ce fameux "check-point", alors qu'elle quittait les lieux après une perquisition dans une affaire de vol avec violences.

 

L'auteur des faits a vraisemblablement utilisé une arme de calibre 9 mm, peut-être un pistolet automatique. La balle a touché la voiture alors qu'elle était en mouvement et s'est logée dans la lunette arrière. Trois fonctionnaires se trouvaient dans l'habitacle.

Ils n'ont eu le temps que d'accélérer après avoir été touchés. Les trois témoins ont aperçu deux impacts d'entrée et de sortie dans la vitre bombée, qui a fini par éclater en mille morceaux quelques secondes plus tard. Selon les témoignages des policiers, le trou percé par la munition pouvait bien correspondre à un projectile de 9 mm.

 

Immédiatement après cette grave agression, les forces de l'ordre ont répliqué. Une cinquantaine de policiers ont convergé vers La Solidarité pour tenter de localiser et d'arrêter le tireur.

Mais il s'était évidemment évanoui dans les méandres de la cité et aucun témoignage n'a permis de faire avancer l'enquête de façon efficace. La brigade criminelle de la police judiciaire a également dépêché sur place 25 de ses limiers pour procéder aux constatations et reconstituer la scène.

 

Il apparaît comme de plus en plus probable que le tireur a fait feu depuis un appartement situé à proximité du rond-point. Mais aucun suspect n'a pu être localisé.

 

Même si aucun fonctionnaire n'a été blessé, l'onde de choc s'est vite répercutée au sein de la corporation, dont le douloureux souvenir du brigadier Éric Lalès, tué lors d'une opération contre des malfaiteurs, à Vitrolles, il y a un peu plus d'un an, a laissé des traces indélébiles.

 

 Pour David-Olivier Reverdy, le secrétaire départemental du syndicat Alliance, ce nouvel épisode de violences contre les policiers est inacceptable : "On est passé à deux doigts de quelque chose de tragique. C'est inadmissible. L'inconscience de ces criminels mérite les sanctions les plus fortes."

 

La PJ poursuit ses investigations sur le terrain.

 

http://www.laprovence.com/article/actualites/marseille-un-tireur-vise-trois-policiers-et-transperce-leur-voiture

Le 07/01/2013

Oise : trois cents jeunes sèment la pagaille à Nogent.

 

Entre lundi soir et hier matin, un réveillon organisé clandestinement à Nogent-sur-Oise s’est très mal terminé. Près de 80 policiers et gendarmes ont dû intervenir pour maîtriser des bandes déchaînées.

 

Floriane Louison | Publié le 02.01.2013, 04h11

Nogent, ex-hôtel Sarcus, hier. Des centaines de jeunes se sont rassemblées dans ce bâtiment inoccupé pour réveillonner après l’annulation d’une soirée à Paris. Mais la fête a vite dégénéré et s’est transformée en bagarre généralisée. | (LP/Olivier Arandel.)

 

« C’était pas la fête, c’était la guerre. » Cette habitante des résidences du Parc Hebert, en plein cœur de Nogent-sur-Oise, reste sans voix. Dans la nuit de la Saint-Sylvestre, 300 jeunes se sont invités en face de chez elle, dans l’ex- Sarcus. Un bâtiment en partie inoccupé, en attente de reconversion. « Ils ont envahi l’immeuble, puis le parking au milieu des résidences ».

 



Le huis clos urbain va alors complètement dégénérer. « Ils étaient tous excités comme des bêtes », explique une voisine. En quelques heures, ce rassemblement improvisé s’est transformé en bagarre généralisée. Cette nuit-là, elle n’a pas bougé, lumière éteinte dans sa chambre. « Ils cognaient sur les voitures, hurlaient, se tapaient dessus! »

« Il y avait des gens partout, témoigne Jean Arvieu, le commissaire adjoint de Creil. Quelques têtes connues dans le coin, mais surtout beaucoup de Parisiens. » Selon les habitants, c’est une soirée annulée dans la capitale qui a mené cette foule déchaînée jusque dans l’Oise. « A l’heure du premier train ce mardi matin, la police ferroviaire, nous a prévenus qu’ils étaient une centaine en gare de Creil » ajoute Jean Arvieu. Scène apocalyptique. « L’impression d’une horde sauvage. Certains allaient et venaient, le nez en sang, d’autres déambulaient sur les rails. » Immédiatement, la circulation est coupée et les renforts arrivent. Policiers, gendarmes mobiles, police ferroviaire : il faudra 80 agents pour maîtriser la bande. A 5h30, tous les fauteurs de troubles embarqueront dans le RER, escortés par une vingtaine de policiers. Mais les dégâts continueront et, pendant le trajet, plusieurs vitres du train seront brisées.

« Au final, on a évité le pire, constate encore le commissaire adjoint de Creil. Il n’y a pas de blessés graves, ni chez les forces de l’ordre, ni chez eux. Pas de gardés-à-vue non plus. » Le lendemain, dans l’ex-hôtel Sarcus, les guirlandes pendent encore aux murs, des bouteilles d’alcool jonchent le sol. Un peu partout, des tables sont renversées ou en mille morceaux. Un habitant regarde, choqué : « Ici, c’est une résidence privée, tranquille. On n’a jamais vu ça. »

Le Parisien

Le 06/01/2013

 

 

Mulhouse Nouveaux incidents dans le quartier des Coteaux, le tram à l'arrêt

 

De nouveaux incidents ont eu lieu hier soir dans le quartier des Coteaux à Mulhouse. Un groupe s’en est pris au Tram.

 

Vers 20 h 30, le groupe aurait mis en place des obstacles sur la ligne qui mène à la station Nation, au niveau du Boulevard des Nations.

 

 Le conducteur de la ligne voyant les objets qui encombraient la ligne ne s’est pas arrêté mais la rame a été la cible de jets de pierres et de cocktails Molotov.

 

 Un des engins incendiaires se serait enflammé à l’intérieur de la rame, selon certaines sources.

 

 Le chauffeur qui aurait stoppé plus loin aurait réussi à éteindre le début d’incendie.

 

Chez Soléa, personne n’a souhaité communiquer sur cet incident mais on a démenti qu’un cocktail soit entré dans la rame. Il n’y avait en tout cas pas de passagers à ce moment précis.

 

L’incident a été jugé assez grave pour que la circulation soit suspendue sur la ligne 2 à partir de l’Université. Côté forces de l’ordre, il a été immédiatement fait appel aux mobiles qui sont en place depuis jeudi dans la cité. « Il a été procédé à l’interpellation de trois individus dont un mineur », a précisé le DDSP.

Le 02/01/2013

1193 véhicules brûlés lors de la nuit du Nouvel an, surtout en zone urbaine.

Près de 1200 véhicules ont été incendiés à la Saint-Sylvestre. Un niveau élevé.

 

Au nom d'un principe affiché de «transparence» et de «vérité due aux Français», Manuel Valls a révélé mardi soir que 1193 voitures ont été incendiées, dont 344 par propagation, lors de la nuit de la Saint-Sylvestre.

 

 Comme l'a observé le ministre de l'Intérieur, ce chiffre correspond à «celui des autres années».

 

 C'est-à-dire qu'il se maintient à un niveau très élevé, si l'on considère le dernier décompte remontant à 2009 et qui faisait alors état d'une soirée jugée plutôt «calme» à l'époque avec quelque 1147 carcasses retrouvées calcinées.

 

Depuis lors, la divulgation des chiffres de véhicules incendiés le soir du réveillon avait été abandonnée par les prédécesseurs de Manuel Valls afin d'«éviter toute surenchère ou compétition entre villes». «Quand il s'agit de lutter contre la délinquance et l'insécurité, il n'y a rien à cacher», a rétorqué le premier flic de France avant de dresser la liste des neuf départements dans lesquels plus d'une quarantaine de véhicules ont été incendiés (voir chiffres ci-dessous).

 

Une fois encore, l'écrasante majorité des pyromanes a sévi en zone urbaine, 209 incendies ayant été recensés en région parisienne et 907 dans les agglomérations de province. Seuls 77 sinistres ont été recensés en zone gendarmerie, qui couvre pourtant plus de 90 % du territoire.

 

Face à cette «tradition» qu'il juge «intolérable», Manuel Valls a décidé de saisir ses services pour tenter de mieux lutter contre les incendiaires.

 

 Notamment en mettant «l'accent sur les escroqueries à l'assurance, même si cela peut être compliqué à démontrer». «Brûler une voiture, c'est s'attaquer à un bien souvent difficilement acquis par des personnes qui le voient partir en fumée en quelques minutes», s'est indigné Valls.

Le 13/12/2012

Une église profanée à Lyon.

RL'église de Saint-Rambert, située dans le IXe arrondissement de Lyon, a été profanée dans la nuit du 27 au 28 novembre par une ou des personnes qui ont cassé et détruit de nombreux objets liturgiques.

 

La porte du tabernacle a été fracturée, les plaques de l'autel arrachées, des objets liturgiques volés, le Saint-Sacrement profané.

 

Le curé a déposé plainte pour vol et vandalisme et explique :

"Je n'ai pas pu déposer plainte pour le motif de profanation car c'est uniquement réservé aux tombes et je le regrette, nous vivons dans un monde où il n'y a plus rien de sacré".

 

Le diocèse organise une messe de réparation le vendredi 14 décembre.

 

Je me demande si c'est le même cas d'irrecevabilité quand il s'agit d'une synagogue ou d'une mosquée?? Cherchez l'erreur!

 

 

Le 12/12/2012

14 ans, enceinte de 8 mois, connue sous 37 identités differentes!..Encore une chance pour la France selon Taubira!..

Une jeune fille disant être âgée de 14 ans, interpellée lundi alors qu’elle avait volé 8 téléphones portables, était déjà connue sous… 36 identités différentes.

L’affaire débute lundi, vers 11 h 30, dans un magasin de téléphonie implanté dans la galerie marchande « Les Géants », à Chenôve : alors qu’un couple d’adultes, venus avec elle, distrait les vendeurs, une jeune fille s’introduit dans la réserve de la boutique, et s’empare de huit téléphones portables iPhone5.

 

Mais les vendeurs s’aperçoivent du manège. Le couple prend alors ses jambes à son cou et disparaît.

 

 La jeune fille, elle, est enceinte et a du mal à s’enfuir.

 

Elle est maintenue sur place par le personnel qui alerte la police. Conduite au commissariat central, la jeune voleuse, dont le butin se monte à plus de 5 000 euros, est placée en garde à vue.

 

 Elle explique au cours de son audition par le service de quart être âgée de 14 ans, être de nationalité roumaine, et n’avoir sur elle aucun document d’identité.

 

Enceinte de 8 mois

 

Un examen médical montre qu’elle est enceinte de près de 8 mois.

 

 Ses explications sur les faits sont confuses : elle dit qu’elle a rencontré un homme et une femme qui lui ont demandé de faire des courses avec elle, qu’elle a confondu la réserve avec les toilettes du magasin, et qu’elle y a vu des jeux vidéo qu’elle a pris, sans savoir qu’il s’agissait de téléphones portables…

 

C’est lors des vérifications dactyloscopiques qui vont suivre pour contrôler si l’identité qu’elle fournit verbalement est la bonne que les policiers vont être édifiés : ses empreintes digitales correspondent à… 36 identités différentes, correspondant à autant d’interpellations et de signalisations, à Paris, mais aussi dans les Hauts-de-Seine, ou encore dans la Meuse…

Et la 37 e identité fournie aux policiers dijonnais est encore différente !

 

A l’issue de son audition, l’adolescente, dont personne ne connaît encore avec certitude ni l’âge, ni l’identité exacts, a fait l’objet d’un rappel à la loi, et son dossier a été transmis au parquet.

 

 Les téléphones volés dans la réserve ont été restitués au responsable de la boutique.

Le 9/12/2012

Profanation de la chapelle de la base navale de Toulon.

De monseigneur Poinard, vicaire général du diocèse aux Armées françaises :

"J'apprends ce samedi soir que la chapelle militaire de la base navale de Toulon a été profanée.

 

On s'en est pris aux trois grands symboles de notre foi : le St Sacrement (tabernacle renversé et brisé, les saintes espèces répandues sur le sol), le baptistère totalement brisé et l'ambon (la Parole de Dieu jetée à terre et piétinée).

 

L'intolérance pénètre maintenant à l'intérieur des enceintes militaires : il y a de quoi être vraiment très inquiets.

 

FAITES CONNAITRE CET EVENEMENT ODIEUX..."

"Après tous les discours de haine déversés, jour après jour, par certains ministres et leurs affidés contre les représentants de l’Église, comment voulez-vous que les lieux de culte catholique échappent à ces actes malveillants et blasphématoires ?

 

Quotidiennement, des églises et de tombes chrétiennes sont profanées et nous heurtons au grand mutisme de la "große presse" aux mains de la gauche.

 

Qu'attend le fr .°. Valls, initié au Grand Orient de France, loge maçonnique particulièrement christianophobe, pour condamner les propos de haine anti-catholique ?


Qu'attend ce ministre DES Cultes pour se rendre à Toulon, lui qui avait déclaré, sur les lieux d'une mosquée, qu'il s'agissait d'une "attaque contre la République" ?

Le 6/12/2012

Le racisme anti-Français n'existe pas ????

Le 18/10/2012

Rhône. Regain de tension aux Minguettes : la police occupe le terrain jour et nuit

Vénissieux. Depuis samedi, plus de cent policiers en civil et en tenue quadrillent chaque nuit un quartier sous tension où les violences urbaines se multiplient.


Fermeté et détermination.

 

 L’inspecteur général Albert Doutre, patron de la direction départementale de la sécurité publique du Rhône n’entend pas se laisser intimider « par une poignée d’individus malfaisants dont les exactions pèsent sur le quotidien des habitants du quartier des Minguettes à Vénissieux ».

 

Car depuis la mort le 13 octobre, d’un jeune homme de 20 ans, tué d’un coup de couteau, les poussées de fièvre ne faiblissent pas aux abords du boulevard Lénine : le bilan de la nuit de mardi à mercredi s’élève encore à six voitures brûlées, certaines par propagation, des poubelles incendiées, des policiers cibles de jets de pierres et/ou de bouteilles, bus caillassés détournés de leur voie, et quatre personnes, dont trois jeunes femmes, interpellées puis placées en garde à vue.

 

« Des faits imputables à de petits groupes d’individus qui circulent la nuit et tentent de déstabiliser le secteur », analyse Albert Doutre.

« Nous ne laisserons rien passer.

 

 S’il faut renforcer le dispositif policier nous le renforcerons afin que l’ordre public soit maintenu coûte que coûte », avertit encore le haut fonctionnaire de la police. « Notre réponse est un maillage serré du terrain pour que les trublions, des individus qui se croient tout permis, soient interpellés.

 

Ici, les seuls leaders ce sont les forces de l’ordre ! ».

Depuis samedi soir, et chaque nuit, une demi-compagnie de CRS patrouille en permanence dans le quartier des Minguettes, tandis que des effectifs de la brigade anticriminalité, des compagnies départementales d’intervention et des unités locales assurent une présence constante. «

 

L’enquête sur le meurtre de Yacine a été confiée à la direction interrégionale de la police judiciaire assistée, dans des missions de sécurité publique, par les effectifs de la DDSP du Rhône », tient à rappeler Albert Doutre dont les hommes, samedi dernier, ont assuré la protection, des enquêteurs venus faire les constatations et des secours qui ont transporté à l’hôpital l’auteur présumé du coup de couteau mortel.

 

 Face à une centaine d’habitants hostiles et agressifs qui voulaient s’en prendre au meurtrier présumés, les forces de l’ordre ont lancé à la main des grenades lacrymogènes et utilisé leur flash ball.

 

 Arme également utilisée dans la nuit du 15 au 16 pour disperser les lanceurs de projectiles L’enquête sur les violences urbaines devrait être confiée à la brigade de sûreté départementale (BSD).

 

Christine Morandi

Le 13/10/2012

Xavier Lemoine: la république court a la catastrophe!

Une étude menée pendant un an, notamment à Montfermeil, en Seine-Saint-Denis, révèle que les préceptes de l’islam remplacent de plus en plus les valeurs républicaines dans nos banlieues. Le maire de Montfermeil, Xavier Lemoine, réagit à ce constat en lançant un cri d’alarme. 

- Xavier Lemoine, maire de Montfermeil SIPA/JEROME MARS

 

- L’étude de l’Institut Montaigne affirme que l’islam a pris le pouvoir dans nos banlieues. Partagez-vous cette analyse ?      

  

 XAVIER LEMOINE :        

 Oui ! Je le dis depuis des années. L’islam s’est implanté dans nos quartiers. On en prend enfin conscience. Sauf que les remèdes avancés par l’Institut Montaigne – mettre plus d’argent dans les quartiers – ne sont pas les bons. De l’argent, depuis trente ans, on en a mis beaucoup dans les banlieues. Le problème, c’est que la République n’a eu aucune exigence vis-à-vis des populations accueillies. Installées en France, beaucoup d’entre elles continuent à vivre et à se comporter comme dans leurs pays d’origine, avec leurs langues et leurs coutumes, refusant nos valeurs, notre histoire et notre culture.

 

- F.-S. Avez-vous des exemples ?

- X. L. Dans ma ville, on a dépensé des sommes énormes pour que les populations étrangères s’intègrent. Mais des familles qui vivent en France depuis 10, 20 ou 25 ans ne parlent toujours pas français. Elles ne souhaitent pas s’intégrer, et la République laisse faire. Résultat : une multitude de communautés ethniques vivent chez nous en totale autarcie, entre elles, en dehors de nos règles et de nos valeurs.

 

- F.-S. Notre pays est pourtant très attaché à ses valeurs républicaines !

- X. L. Oui, mais par angélisme on a laissé ces communautés s’organiser entre elles. Sous prétexte de respecter leurs cultures, on n’a pas exigé le respect de notre culture. On a été pris en otages. Ce que je dis, ce n’est ni du racisme ni de la discrimination. C’est du bon sens. Il faut défendre les valeurs qui ont fait la France.

 

- F.-S. Refuser de s’intégrer, ça veut dire quoi ?

- X. L .Par exemple, ne pas parler français. La plupart des enfants des quartiers ne parlent pas français à la maison. Ils parlent la langue et ils regardent la télévision du pays d’origine de leurs parents. Dans les cours de récréation de ma ville, il y a 40 à 50 nationalités différentes. Et, là encore, chacun parle la langue d’origine des parents. Les mercredis et les samedis, ces mêmes enfants sont pris en charge par les écoles coraniques ou les associations tenues par leurs ambassades. Les établissements publics sont  de moins en moins utilisés.

 

- F.-S. Quelles conséquences pour ces jeunes ?

- X. L. Elevés dans leurs ghettos communautaires, ils n’adhèrent pas à nos valeurs. Et quand ils arrivent dans le monde du travail, ils ne sont pas « employables ». Ce n’est pas une question de formation, mais de « savoir être », de comportement, de codes sociaux.

 

- F.-S. Quelles conséquences pour notre pays ?

- X. L .C’est l’éclatement de la République ! Les politiques, les associations et les médias doivent comprendre que nous ne sommes pas au pays des Bisounours. Récemment, un imam est venu me voir et il m’a dit : « Monsieur le maire, en 2014 vous serez peut-être encore réélu, mais en 2020 ce sera nous. C’est mathématique, car nous serons majoritaires. »

 

- F.-S. Je ne comprends pas ...

-X. L. Cet imam faisait allusion au basculement démographique qui, selon lui, se produira en France. Déjà, en Seine-Saint-Denis, que constatons-nous ? Sur le 1,5 million d’habitants recensés, 500.000 sont titulaires d’une carte de séjour, 500.000 sont français en vertu du droit du sol ou des naturalisations et donc sans aucune ascendance française, les 500.000 autres, Français ayant des ascendances françaises, plutôt vieillissants et « déménageants ». Or le taux de natalité des deux premiers tiers est le double de celui du dernier tiers. C’est inéluctable, la bascule démographique s’accomplit, comme le décrit très bien Christopher Caldwell dans son récent livre, Une révolution sous nos yeux.

 

- F.-S. On aborde là un sujet tabou. Que proposez-vous ?

- X. L. La France doit exiger trois choses de la part des populations qui s’installent chez nous : la connaissance du français, la connaissance et le respect de nos coutumes, et la connaissance et le respect de notre histoire. Actuellement ce n’est pas le cas, et c’est dangereux. Nous n’enseignons même plus notre histoire à l’école. Il est temps d’être lucide et responsable.

 

- F.-S. Que faire si certains refusent de se plier à vos trois exigences ?

- X. L. J’ai été récemment au Danemark et en Suède. Là-bas (des pays culturellement  plutôt à gauche), les étrangers ont six mois pour apprendre la langue du pays, ses valeurs fondatrices et son histoire. Si vous ne possédez pas ces trois éléments essentiels, vous n’avez pas accès au numéro d’immatriculation qui vous donne droit à la Sécurité sociale, aux aides sociales, au logement, au travail.

 

- F.-S. En France, imposer ces trois critères aux étrangers, est-ce possible ?
X. L. Bien sûr que c’est possible ! C’est même indispensable, si nous croyons en nos valeurs. Quand j’en parle en privé avec des élus, ils sont d’accord avec moi. Sur le terrain, les maires font le même constat que moi, mais ils n’osent pas encore le dire publiquement.      

                                                                                               

- Cette étude, intitulée Banlieue de la République,a été publiée par l’Institut Montaigne, un groupe de réflexion sur l’évolution à long terme de notre société. Il regroupe des universitaires, des hauts fonctionnaires, des représentants de la société civile, des syndicalistes, des chercheurs, des chefs d’entreprise. Institut indépendant, il bénéficie d’un budget annuel de 3 millions d’euros, alimenté uniquement par des dons privés.  

09/09/2012

 

AFP

A Castres, un parachutiste perd un oeil dans des violences avec des jeunes

La ville de Castres (Tarn) vient d'être le théâtre de violents incidents entre des parachutistes et des jeunes, qui ont coûté un oeil à un soldat et poussé le colonel à consigner ses hommes.

Une bataille rangée a opposé une soixantaine de soldats du 8e Régiment de parachutistes d'infanterie de marine (RPIMa) et de jeunes dans la nuit de vendredi à samedi, en marge d'une fête locale, a-t-on appris dimanche de source proche de l'enquête.

 

Les soldats ont été insultés aux cris de "sales militaires" ou "sales Français" à leur sortie d'un bar du centre, ont indiqué un haut officiel tarnais et le colonel Eric Chasboeuf, chef du corps du 8e RPIMa.

 

Selon ce dernier, les parachutistes, alors au nombre d'une dizaine, avaient eu le tort de défendre une jeune fille que des jeunes

importunaient.

 

Les soldats se sont retrouvés devant l'établissement en présence d'un nombre beaucoup plus important de jeunes, qui avaient appelé du renfort. L'alcool aidant, les coups sont partis.

 

 D'autres militaires et d'autres jeunes sont arrivés à la rescousse. L'affrontement a tourné à la bagarre générale sur la grande place du centre-ville, tandis que les participants à la fête se réfugiaient où ils pouvaient.

 

Des policiers sont intervenus, tirant des balles en caoutchouc et utilisant des lacrymogènes pour séparer les opposants sans empêcher que des pugilats sporadiques continuent ailleurs.

 

"Un de mes jeunes a été blessé à l'oeil par un tesson de bouteille", a déclaré le colonel Chasboeuf à une correspondante de l'AFP.

 

 Hospitalisé à Toulouse, "il a perdu son oeil droit. Désormais à 21 ans, il ne peut plus exercer son métier, il ne sera plus parachutiste, plus militaire", a-t-il dit.

 

L'auteur présumé du coup de bouteille et un autre jeune ont été interpellés. Ils étaient présentés à un juge du pôle d'instruction de Toulouse dimanche en fin d'après-midi, a indiqué le parquet. Celui-ci a ouvert une information judiciaire criminelle pour violences avec arme ayant entraîné une invalidité permanente.

 

Connus de la police pour certains, les jeunes qui ont cherché querelle aux soldats constituent une "frange" avec laquelle la population, et pas seulement le RPIMa, a des problèmes, a précisé un responsable policier.

 

Avec les parachutistes, ils trouvent à qui parler, d'autant plus que certains soldats ont eux-mêmes été des jeunes en difficulté, a-t-il poursuivi, en mettant en garde contre une vision "manichéenne" des événements.

 

La nuit des faits, des cadres du régiment ont fait le tour de la ville pour ramener les soldats. Pour éviter d'autres heurts, le colonel Chasboeuf a limité les quartiers libres dans la nuit de samedi à dimanche.

 

Le régiment partait en manoeuvre dimanche, laissant 120 hommes en garnison, sur un effectif de 1.200. Les "consignes de prudence sont cependant maintenues", a indiqué le colonel Chasboeuf.

 

La police, elle, prévoyait de conserver un dispositif renforcé dans la nuit de dimanche à lundi.

 

De tels incidents sont rares, a souligné le colonel: "Le 8 est un régiment très bien intégré dans la ville de Castres et compte dans ses rangs de nombreux jeunes issus de la diversité et de l'outre-mer. Nous voulons juste continuer à vivre sereinement et tranquillement dans notre ville de garnison".

 

La caserne du "8" avait été attaquée à la fin juin 2011 par une bande de jeunes armés, qui avaient essayé de forcer l'entrée et été repoussés.

 

Selon des témoignages rapportés alors par le journal La Dépêche du Midi, cette attaque avait suivi une expédition menée par des individus à l'allure militaire contre un bar à chicha (pipe à eau).

 

Depuis 1951, le 8e RPIMa a participé à toutes les opérations militaires françaises en Indochine, Algérie et, plus récemment, en Irak, Bosnie-Herzégovine, Afghanistan et dans différents pays d'Afrique.

Et puis il y a les banlieues, nomansland ou la loi de la République n'est plus appliquée .

 

Ou toutes interventions de la police est vécue comme une provocation.

 

Dans ces zones de non droit, de jeunes voyous sans aucun repère, pillent, volent, violent, brûlent, racket, dealent, tuent au vu et au sus de tout le monde..

 

La télé systhématiquement nous dit que ce sont des jeunes !...

 

Ce sont des voyous, même s'il sont jeunes.

 

Quand ont se met a plusieurs pour violer une fille dans les caves d'un immeuble, on n'est pas que jeune, on est criminel

 

Quand on agresse une petite mémé pour lui voler son sac a main a la sortie de la banque, même si on est jeune , on est avant tout un voyou.

 

Quand on met le feu aux voitures qui sont sur les parkings, juste pour défier la police, le qualificatif de voyou est celui qui va le mieux pour définir cette action..

 

Qu'on arrête d'assimiler ces actes grâves a la jeunesse, c'est une insulte pour les jeunes qui eux bossent pour étudier et se trouver du boulot.

 

Cette faune est une honte pour tous ceux qui se lèvent le matin pour aller gagner un salaire de misère ...

 

Nicolas le petit avait fait promesse avant les élections de nettoyer toute cette crasse au Kärcher ....

 

Mais quand un secrétaire d'état achète pour 12 000 Euros de cigares avec l'argent du contribuable, c'est aussi un voyou, en col blanc, certe, mais voyou quand même..

Mais le petit Nicolas a dù oublier, comme beaucoup d'autres choses!....

 

Maurice nous en parle avec sa façon a lui de dire les choses ..

 

 

 

 

Et voici un autre exemple de délinquance, avec sa tête de premier de la classe, vous lui auriez surement confiés vos économies ?????

 

Vous n'auriez pas dù !....

 

Voila un exemple parfait de ce que peut produire les 2 plus prestigieuses écoles Française, l'ENA et Polytechnique ...

 

Ce petit génie au visage poupin, qui se prenait simplement pour le "maître du monde", n'est en fait pour moi qu'un vulgaire délinquant en col blanc !...

 

Et a ce titre, énarque ou pas sa place est en prison comme devrait s'y trouver tous les escrocs de son acabit ....

 

Je pense que les centaines de milliers de petits porteurs qu'il a dépouillé sans aucun état d'âme n'y verraient pas inconvénient !..

 

En d'autres temps, ce genre d'individu malfaisant aurait été pendu haut et court....

 

De quoi regretter le "bon vieux temps"!...

 

 

L'ENA
La prestigieuse école de l'administration d'où sont sortis la majorité des politocards qui nous gouvernent !..

Copinage et petite magouilles entre amis !...
l_ena.pps
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