Par Olivier
Baultle 27 avr, 2013 @ 9:56
Extrait de l’émission Apostrophe sous-titré et mis en ligne par le site d’information wPolityce.pl, sous le titre « Daniel Cohn-Bendit – un pédophile au
Parlement européen ? »
Le 24 avril, le député européen d’extrême-gauche devait participer à un débat sur l’Europe à l’Institut de Politologie de l’université de Wroclaw, en
Pologne.
Face à la vague de protestations que cela a soulevé, et craignant sans doute d’y être conspué, « Dany le Rouge » a préféré annuler sa participation. Les
protestataires reprochaient aux organisateurs d’avoir invité un activiste d’extrême-gauche qui a reconnu dans son autobiographie Le Grand Bazar publiée en 1975 avoir eu des
attouchements pédophiles avec des enfants de 5 ans d’une école maternelle de Francfort sur le Main où il travaillait. Des aveux réitérés dans l’émission Apostrophes du 23 avril
1982.
Une partie de la presse polonaise a cité l’extrait de l’autobiographie de Daniel Cohn-Bendit où celui-ci déclare que, à plusieurs reprises,
des enfants de l’école maternelle lui ont ouvert la braguette et ont commencé à le caresser et que lui-même les caressait en retour.
Le site conservateur wPolityce.pl a même mis en ligne un extrait de la fameuse émission après l’avoir sous-titré en polonais.
Daniel Cohn-Bendit y déclare : « Vous savez, la sexualité d’un gosse, c’est absolument fantastique. [...] J’ai travaillé avec des gosses qui avaient entre 4
et 6 ans.
Vous savez, quand une petite fille de cinq ans – cinq ans et demi commence à vous déshabiller, c’est fantastique. C’est fantastique, parce que c’est un jeu
absolument érotico-maniaque… »
Ceci accompagné des ricanements stupides de ses interlocuteurs.
Cliquer ici pour voir l’extrait de
l’émission mis en ligne par les Polonais.
Comme par hasard, cette vidéo est bloquée en France.
Le metteur-en-scène polonais Grzegorz Braun, auteur de films documentaires et fervent anticommuniste, a même informé le parquet polonais des
déclarations pédophiles de notre Dany franco-allemand car même si celui-ci revenait sur ses aveux, le simple fait de vanter publiquement la pédophilie est un délit en Pologne.
Théoriquement, une enquête pourrait donc être ouverte en Pologne sur le possible passé pédophile de Daniel Cohn-Bendit.
Nouvelles de France
Par Eric Martinle 11
avr, 2013 @ 20:17
Interrogé ce jeudi par Yves Thréard pour Le Figaro, Jean-Philippe Désir, davantage connu sous le pseudonyme «
Harlem Désir » (plus « mec de la rue », plus « caillera »…), estime le plus sérieusement du monde son patrimoine « à environ 20 000 euros ».
Celui-ci serait constitué de « livrets d’épargne » et d’une voiture.
Aujourd’hui locataire, il précise avoir été propriétaire (en Île-de-France) avant de se séparer de la mère de ses deux enfants, Anna
Angeli.
Après la vente de cet appartement, il ne lui resterait donc que 20 000 euros, à peine plus que le montant des amendes de stationnement que lui réclama le
Trésor public avant que François Mitterrand ne le fasse bénéficier d’une amnistie en 1992, 80 000 francs de l’époque, soit 16 200 euros d’aujourd’hui.
Dit-il vrai ? Difficile de croire le Premier secrétaire du Parti socialiste quand on sait que, député européen depuis 14 ans, il gagne près de 8 000
euros brut par mois (6 200 euros net), sans compter l’indemnité mensuelle forfaitaire sans justificatif de frais généraux de 4 300 euros, rien
qu’avec cette activité d’élu du peuple…
On a bien compris que l’objectif, à défaut de faire reculer la pauvreté, est d’avoir l’air pauvre, comme le peuple en ce moment.
Les Services de renseignements français ont fait tomber Jérôme Cahuzac, selon L'Hebdo. L'ex-ministre du Budget prévoyait des coupes drastiques dans les
finances de l'armée.
L'hebdomadaire romand publie sur le sujet une enquête citant des «sources sécuritaires», des députés UMP et des membres de la Commission de défense de
l'Assemblée nationale.
Avant sa démission, l'ex-ministre du Budget considérait l'armée comme un poids lourd à alléger. Il envisageait ainsi de raboter dans son budget jusqu'à 1
milliard d'euros en 2014. D'autres milliards étaient prévus les années suivantes.
Le tout aurait figuré dans la future loi de programmation militaire (LPM) couvrant la période de 2014 à 2019. La LPM aurait fait passer les dépenses de l'armée
de 1,5% du PIB français à 1,1%. Un plus bas historique pour la France.
Concrètement, la taille aurait signifié la suppression de 31 régiments dans l'Armée de terre, la vente du porte-avion
Charles-de-Gaulle, l'annulation de commandes d'hélicoptères Tigres et de deux sous-marins nucléaires Barracuda, l'arrêt de production des avions
Rafale et des transporteurs Airbus A400M, ainsi que la
suppression de quelque 51'000 postes.
Des bases françaises à l'étranger auraient été fermées et les budgets des renseignements intérieurs et extérieurs revus à la baisse.
Coupes inacceptables
Ces mesures auraient été jugées inacceptables de l'intérieur, affirme L'Hebdo. Davantage d'économies dans le ministère de la Défense risquaient même aux
yeux de certains de mettre en péril le statut de grande puissance internationale de la France et de rendre le pays indigne de siéger au Conseil de Sécurité de l'ONU.
Ainsi, avant que le président François Hollande ne se prononce le 22 mars sur le projet de loi de Jérôme Cahuzac, ce dernier a fait face le 19 mars à l'ouverture d'une enquête
judiciaire à son encontre. Il démissionnera dans la même journée. Le 2 avril, il avouera devant la justice posséder un compte non déclaré à l'étranger, détruisant ainsi durablement sa
carrière politique.
Les «sources sécuritaires» de L'Hebdo sont très claires. Aucun hasard n'est à lire dans cet enchaînement d'événements. «L'armée a eu sa peau.
On ne s'attaque pas impunément à nous. Il voulait notre mort. Nous l'avons eu. Et d'autres ministres pourraient suivre si Hollande continue sur cette voie», menace
l'une des sources.
La précision des informations aux mains de la justice française sur le compte en Suisse de l'ex-ministre du Budget ont surpris les autorités genevoises, souligne
encore L'Hebdo. Cette minutie porterait la marque de l'intervention des Services de renseignements français qui enquêtent depuis des années sur les fraudeurs du fisc.
Un certain nombre d'informations seraient gardées au chaud, plutôt que d'être livrées à la justice, afin de conserver une certaine influence sur les
politiques en cas de besoin. Les enquêteurs l'ont reconnu dans un document collectif signé par des officiers de la Direction centrale du renseignement intérieur et remis le 16
février à un groupe de travail sur les exilés fiscaux.
Lu sur boulevard Voltaire
C’est Serge Federbusch, élu de Paris et fondateur de Delanopolis, site d’infos sur la gestion delanoesque de notre capitale, qui a vendu la mèche : à 53 ans, Anne Hidalgo est depuis bientôt deux ans
déjà une heureuse retraitée.
Après 29 ans de carrière dans le rude corps de l’Inspection du travail où elle a atteint le grade de directeur, la candidate à la mairie de Paris a donc pris sa
retraite. Et tout comme la fonction crée l’organe, il faut croire que la retraite crée les trous de mémoire car la belle de Cadix avait oublié de le dire.
Chatouillée sur ses revenus – c’est dans l’air du temps –, elle a déclaré l’autre jour : « Je gagne 5.000 euros nets par mois pour mes mandats ».
Grosse menteuse, va ! Les 5.000 euros, c’est un arrondi qui tient plutôt de l’arasement.
Ses deux mandats de conseillère de Paris et adjointe au maire se montent à 4.500 euros environ, à quoi il faut ajouter 2.118 euros pour son mandat de conseillère
régionale et 1.583 euros de pension.
Soit un total qui tourne autour de 8.200 euros nets par mois. À quoi il faut sans doute encore ajouter tous les menus avantages en nature qu’offrent ses diverses
attributions : voiture de fonction, chauffeur, frais de représentation, etc.
Si l’on se réfère au barème de ses amis du gouvernement, madame Hidalgo appartient aux très hauts revenus.
Alors n’en doutons pas, en sa qualité de représentante de la gauche morale lors des prochaines municipales, cette dame aura assurément à cœur de militer pour la
fin des régimes spéciaux, l’allongement de l’âge de la retraite à 67 ans, la réduction de 75 % des allocations familiales et la fin du cumul des mandats.
Au cas où elle aurait encore des trous de mémoire, on sera là pour le lui rappeler.
Le Point.fr- Publié le 09/04/2013 à 21:29- Modifié le 09/04/2013 à 23:07
EXCLUSIF. Le chef de l'État est cité comme témoin dans le procès des malversations de la mairie d'Hénin-Beaumont. Une affaire gênante.
François Hollande témoin dans le procès de Gérard Dalongeville : un nouveau coup dur pour la République exemplaire.© Montage Le Point.fr/AFP
Par Jean-Michel Décugis
et Aziz Zémouri
François Hollande était-il au courant des malversations présumées du PS dans le Pas-de-Calais ?
Selon nos informations, le chef de l'État devrait être cité comme témoin par Gérard Dalongeville, ancien maire PS d'Hénin-Beaumont, qui comparaît, fin mai,
avec vingt autres élus et sympathisants socialistes devant le tribunal correctionnel de Béthune pour "détournements de fonds, fausses factures et corruption". L'élu est défendu par
l'avocat Francis Terquem.
Impossible évidemment de contraindre François Hollande, compte tenu de son statut de chef de l'État, à répondre à cette convocation.
Néanmoins, durant la campagne présidentielle, François Hollande avait pris l'engagement de répondre à toute convocation concernant le Parti socialiste du
temps où il en était le premier secrétaire.
Honorera-t-il sa parole ou préférera-t-il plus prudemment se retrancher derrière ses fonctions ? Ce nouveau tracas pour l'exécutif s'ajoute à une autre
affaire dans laquelle François Hollande doit être cité comme témoin. Tous les détails sont à lire dans le numéro 2117 du Point à paraître jeudi.
Christian Jacob dans son bureau de l'Assemblée nationale.© Éric Baudet/Sipa/JDD
Christian Jacob : Ayrault et Désir, "des anciens repris de justice"
Le Point.fr- Publié le 09/04/2013 à 13:16- Modifié le 09/04/2013 à 14:03
Le chef de file des députés UMP, Christian Jacob, a qualifié mardi "d'anciens repris de justice" Jean-Marc Ayrault et le premier secrétaire du PS Harlem
Désir en raison de leurs condamnations dans le passé.
Jean-Marc Ayrault
avait été condamné en 1997 à six mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende (4 600 euros) pour favoritisme dans l'attribution d'un marché public à Nantes, et dix ans
plus tard, il a bénéficié d'une réhabilitation pour cette condamnation, comme le prévoit le Code pénal.
Harlem Désir avait été condamné en 1998 à dix-huit mois avec sursis pour avoir reçu des salaires fictifs d'une association de 1986 à 1987.
Christian Jacob répondait devant les caméras à une question, sur le rapport Sauvé sur les conflits d'intérêts (janvier 2011), à l'issue de sa conférence de
presse hebdomadaire à l'Assemblée nationale.
"Ce rapport, nous l'avons demandé, et moi, contrairement à Jean-Marc Ayrault, je ne suis pas un ancien repris de justice, moi je n'ai pas été condamné à six
mois de prison, ou comme Harlem Désir, à 18 mois", a-t-il dit.
Après le rapport Sauvé, l'ancienne majorité a créé "une sanction pénale contre les déclarations de patrimoine erronées", a-t-il ajouté.
Le journaliste vedette de la télé suisse RTS parle de 15 millions d’€ ayant transité sur le compte de Jérôme Cahuzac, et évoque une
rencontre entre Pierre Moscovici et son alter ego suisse lors du forum de Davos où ils auraient évoqué l’affaire Cahuzac .
L'ancien ministre du Budget Jérôme Cahuzac a été mis en examen mardi pour blanchiment de fraude fiscale après avoir reconnu qu'il avait détenu un compte
à l'étranger, a déclaré mardi à l'AFP son avocat, Me Jean Veil.
"Ce compte n'a pas été abondé depuis 2001 et l'essentiel de ses revenus provenait de son activité de chirurgien et accessoirement de son activité de
consultant", a déclaré l'avocat.
Sur son blog, l'ancien ministre, qui s'est dit "dévasté par le remords", a reconnu avoir détenu un compte bancaire à l'étranger depuis une vingtaine d'années
et ordonné que les 600.000 euros déposés sur ce compte soient rapatriés sur son compte à Paris.
Le compte ouvert en Suisse "a été transféré à Singapour en 2009", a précisé son avocat.
Les avocats de M. Cahuzac, Mes Veil et Jean-Alain Michel, évaluent le montant du blanchiment à environ 30.000 euros.
"Nous avons fait observer que les faits se rapportant à l'ensemble des recettes sont aujourd'hui largement prescrits", a ajouté Me Veil.
"Aucune mesure de cautionnement n'a été prononcée" contre M. Cahuzac "qui s'est contenté de faire une déclaration aux juges", a poursuivi son avocat.
Ségolène Royal, le retour.
Après sa cuisante
défaite aux législatives de La Rochelle (Charente-Maritime), 2013 pourrait bien marquer un nouveau départ de la Dame du Poitou.
Battue aux primaires socialistes en 2011, mise à l’écart lors de la campagne présidentielle, absente de l’équipe Jean-Marc Ayrault : Royal a mis du temps à se
remettre de sa descente aux enfers.
Repliée pendant de longues semaines dans sa région, Royal refait surface et ne cesse de répéter qu’elle est prête à « intégrer le dispositif pour être utile » à la
réussite du gouvernement.
Mais à quelle place? La direction de l’Institut du monde arabe (IMA) lui a bien été proposée. « Mais ça ne collait pas », confie-t-elle. La présidence de la Banque
publique d’investissement (dont elle revendique la paternité) aussi. Finalement, elle a dû se contenter d’un siège au conseil d’administration.
Il reste le gouvernement. Ses amis ont le feu vert pour passer le message. Jérôme Cahuzac en difficulté, Christiane Taubira donnée en partance pour le Conseil constitutionnel et Pierre Moscovici à l’Eurogroupe, Royal a « bien sûr » sa
place au gouvernement, estimait ainsi le 13 décembre Najat Vallaud-Belkacem.
Huit jours plus tard, Dominique Bertinotti, ministre de la Famille, souhaitait que Royal « retrouve une place politique ». Et dimanche Guillaume Garot,
ministre délégué à l’Agroalimentaire, enfonçait le clou : « Elle a une expérience précieuse et utile pour la réussite de ce quinquennat. » En clair, dans un gouvernement critiqué pour son
amateurisme, le poids de Royal ne serait pas de trop.
« D’autant, confie un de ses proches, qu’elle regrette parfois un certain manque de créativité. » Des critiques mises en sourdine.
Elle a décidé d’être une bonne élève de la majorité, accueillant à tour de bras des ministres dans sa région. Tout en creusant son sillon.
Ainsi prévoit-elle la parution le 6 mars chez Grasset de « Ce que je dois », un livre de près de 300 pages. « Rien à voir avec une introspection, mais un livre sur
ses engagements et les personnages qui les ont inspirés », explique son entourage.
Une tournée des librairies est à prévoir. A moins que d’ici là Hollande fasse appel à elle.
Délicat pour l’ex-compagnon de Royal. D’où la réponse évasive de Manuel Valls quand on lui pose la question d’un retour de Royal : « Joker », dit le ministre
de l’Intérieur.
« Mariage » homo : Le maire du 19e arrondissement coupe l’électricité à Frigide Barjot
Par Pierre de
Bellerivele 29 nov, 2012 @ 13:46
Selon JeanMarcMorandini.com, un incident s’est produit jeudi matin à la mairie du 19ème arrondissement de Paris alors que le présentateur,
Benoît Duquesnes, réalisait le tournage de son émission « Complément d’Enquête » diffusée jeudi soir sur France 2 sur le thème du « Mariage pour tous ».
À cette fin, le journaliste avait reçu du maire l’autorisation de tourner quelques séquences dans la salle des mariages. Un incident est intervenu lorsque
l’élu du 19ème arrondissement a réalisé que l’invitée de Benoît Dusquesnes n’était autre que… Frigide Barjot, opposante au projet de loi et
organisatrice de la « Manif pour tous ».
Des employés de la mairie ont alors demandé au présentateur de suspendre le tournage, ce qu’il a refusé de faire.
Le maire du 19ème arrondissement de la capitale a tout simplement
fait couper l’électricité dans la salle dans laquelle se déroulait l’interview. Celle-ci s’est alors terminée dans le noir. Cette séquence sera diffusée ce soir
sur la chaîne de télévision publique.
Roger Madec, le très démocrate maire du 19ème arrondissement est un farouche promoteur du « mariage » homosexuel.
Il a publié sur son blog des billets intitulés « L’église contre l’amour » ou encore « Mariage pour
tous… partout ! ».
Le 20 novembre dernier, réagissant au succès de la « Manif pour tous », qui avait rassemblé près de 200 000 personnes dans les rues de la capitale, il a qualifié
celle-ci de « mobilisation finalement restreinte »…
Roger Madec, le très démocrate maire du 19ème arrondissement est un farouche promoteur du « mariage » homosexuel.
Il a publié sur son blog des billets intitulés « L’église contre l’amour » ou encore « Mariage pour
tous… partout ! ».
Le 20 novembre dernier, réagissant au succès de la « Manif pour tous », qui avait rassemblé près de 200 000 personnes dans les rues de la capitale, il a qualifié
celle-ci de « mobilisation finalement restreinte ».
Ce Dimanche 21 Octobre 2012 est a marquer d'une pierre blanche .
Jean Louis Borloo le candidat malheureux a la candidature viens de lancer son nouveau mouvement politique .
UDI ..
Il fallait y penser.
Union des idiots ?
Union des Imbéciles ??
Union des Irresponsables ???
Que nenni il faut avoir l'esprit bien mal placé pour ne pas avoir aussitôt pensé a l'Union des démocrates Indépendants ..
Ça en jette, mais Jean Louis qui aurait pù faire fortune en vendant son image pour une campagne de publicité anti rides ou un shampoing pour
cheveux gras, aurait dù réfléchir un peu au dérapage probable que ces trois lettres vont susciter !..
SACRE MELUCHE
Monsieur JEAN LUC MELENCHON homme politique «à gauche toute» mérite d’être regardé de plus près : En effet on pourrait penser qu’un homme de gauche
devrait se contenter de peu ……
Hélas il se pourrait que ce ne soit pas tout à fait ……le prolo que l’on croit !!!!!
DEPUTE EUROPEEN (depuis 2009 représentant du Sud Ouest) : Indemnité parlementaire 7665 euros + indemnité de frais 4202 euros + indemnité de
«subsistance » 298 euros par jour + frais divers téléphone , avion , SNCF etc etc…..
TOTAL ESTIME EUROPEEN mensuel : 20 000 euros
SENATEUR de L’ESSONNE : Indemnité parlementaire 7065 euros + indemnité de frais de mandat
6100 euros + indemnité de frais de subsistance 100 euros par jour + frais divers
telephone , avion , sncf etc etc…..
TOTAL ESTIME SENAT mensuel : 17 000 euros.
TOTAL ESTIME SENAT + EUROPEEN mensuel : 37 000 euros
Soit 444 000 euros par an ( 370 fois le SMIC)
Ceci sans compter quelques autres bricoles , retraites en effet ce gauchiste misérable a été conseiller , puis adjoint à MASSY, conseiller Général puis vice
président du CG de l’Essonne , et qui sait si ce monsieur à un jour travaillé, (c'est-à-dire travailler vraiment ….. embaucher le matin et débaucher le soir ….. pour avoir un salaire dans une
entreprise , il faut expliquer car nos parlementaires ne savent pas de quoi il s’agit ) et dans ce cas, il doit bien avoir une petite retraite qui traîne….. ???!!
Et les revenus de tous les bouquins , qu’il a soi-disant écrit…
Autre particularité de ce prolétaire « homme du peuple » : Il est sénateur de l’Essonne et député européen du SUD OUEST …..
Lui le grand écart il connaît : Grand écart géographique et grand écart idéologique entre ses idées de prolo et ses revenus … !!!!!!
La prochaine fois que vous verrez ce guignol à la Télé , dégueuler sur les Français qui ont de gros salaires ou ceux qui ont réussi , rappelez vous que ce monsieur
est une imposture , pire que la droite qui nous baise , lui discrètement sans en avoir l’air , avec jovialité …. il nous enc…………
VIVE LA France
Jean-Luc Mélenchon, né le 19 août 1951 à Tanger, au Maroc, est un homme politique français, député européen et co-président du Parti de gauche (PG).
Élu local de Massy puis du département de l'Essonne à partir de 1983, il est élu sénateur de l'Essonne en 1986 et réélu en 1995 ,2004 et 2009.
Il est ensuite élu député européen dans la circonscription Sud-Ouest en 2009.
Jean-Luc Mélenchon est ministre de l'Enseignement professionnel de 2000 à 2002, sous le gouvernement de cohabitation de Lionel Jospin.
Au Parti socialiste, il fait partie de l'aile gauche jusqu'au congrès de Reims de novembre 2008, date à laquelle il quitte ce parti pour fonder le Parti de
gauche.
Au départ président du bureau national du Parti de gauche, il en est actuellement le co-président, aux côtés de Martine Billard.
Jean-Luc Mélenchon est candidat à l'élection présidentielle de 2012 au nom du Front de gauche.
06/05/2012
Battu au premier tour des présidentielles.
Arrivé 4è avec 11,11% des suffrages .
10/06/2012
Au soir du premier tour des législatives, le clown Mélenchon qui avait voulu défier le FN a Hénin-Baumont c'est encore pris une claque !..
Arrivé troisième derrière le Socialiste Philippe Kemel et bien loin derrière Marine Le Pen qui fait plus de 48,21% des voix a Hénin-Baumont.
Mais il n'a pas la rancune tenace puisqu'il appelle a voter pour le PS au deuxième tour !...
Voici 2 vidéos expliquant que les magouilles pour trafiquer les votes sont courantes au parti Socialiste .
Régime des retraites des politiques, écoutez et vous allez pleurer ..
( Laissez passer la pub )