Où l'on parle d'assassins .

Le 19/02/2013

 

Publié le 19 février 2013 par Martine: vu sur F.Desouche

 

[ NDLR : La presse régionale des 17 et 18 février 2013 a plusieurs fois évoqué un meurtre ayant eu lieu à Trebeurden, petite ville des Cotes d'Armor.

Les différents articles en ligne évoquent la victime, José Da Silva Fernandes, un maçon de 39 ans, assassiné à coups de couteau, mais le nom du meurtrier était lui systématiquement occulté. Les articles parus sur internet parlent de "l'auteur présumé" , "un jeune homme de 23 ans", "un ami de la victime", "le mis en cause", "le lannionais" etc...

 

Un lecteur a néanmoins insisté. Et nous a révélé que seule l'édition papier de Ouest-France mentionnait ce petit détail. Il nous envoie le scan de l'article.

Le 13/12/2012

Trois suspects arrêtés pour le meurtre de l'avocate retrouvée égorgée a Marseille.

 ancien client

 

Il y a d'abord Azziez, 53 ans, le père de famille.

 

 Un quinquagénaire au lourd passé, qui focalisait toute l'attention de la "crime" dès le départ.

 

 En décortiquant la clientèle de l'avocate, les enquêteurs s'étaient intéressés de très près à son profil. Au début des années 2000, il avait été impliqué dans une affaire d'homicide.

 

 Une bagarre, au couteau, sur la commune de Vitrolles, contre un rival, pour une dispute peut être liée à son épouse d'alors.

 

C'est lors de son parcours judiciaire qu'il aurait croisé la route de Maître Talbot, devenue son conseil.

 

 Revenu au foyer familial, voilà environ quatre ans, Azziez se serait ensuite heurté à l'hostilité de son épouse, qui aurait réclamé le divorce. Il aurait donc fait à nouveau appel à l'avocate pour s'occuper de son dossier. Qui ne portait la trace d'aucune animosité entre les différentes parties.

 

Et l'homme, considéré comme un bon père par ses proches et le voisinage, n'a pas vraiment suscité les soupçons des enquêteurs, qui ne l'ont pas considéré comme leur suspect numéro un. En revanche, ils se sont vite penchés sur la personnalité de ses deux enfants. Deux garçons de 25 et 27 ans décrits comme très instables, voire souffrant de troubles psychologiques

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Deux frères au profil psychologique perturbé

 

L'aîné, Hadou, est présenté comme le plus "turbulent". La police l'aurait d'ailleurs arrêté pour des violences. Son éducation tronquée par l'absence du père et par une mère elle aussi rongée par des défaillances psychiques l'aurait durablement déséquilibré.

 

Le portrait brossé de son frère, Samir, paraît équivalent. Même s'il n'aurait jamais eu affaire aux forces de l'ordre, il se serait déjà manifesté par des mouvements d'humeur inquiétants.

 

Ce sont sa silhouette et son visage qui seraient apparus sur les films des caméras de vidéosurveillance, le matin des faits, à la sortie du cabinet.

 

Etait-il seul, son frère l'accompagnait-il ? Voilà tout l'enjeu des auditions qui vont se prolonger jusqu'à demain soir.

 

 Raymonde Talbot l'avait manifestement invité à entrer dans son bureau. Pour quelle raison avait-il décidé de se présenter dans son cabinet ? Et pourquoi s'est-il à ce point acharné sur la victime pour le simple vol d'un sac et de quelques bijoux ?

 

Autant de zones d'ombre qui devraient s'éclaircir d'ici la fin des garde à vue.

Le 2/12/2012

La cour d’assises de Chalon-sur-Saône se penche sur le meurtre d’une jeune femme, poignardée par son ex-compagnon en pleine rue au Creusot.

 la cour d’assises de Saône-et-Loire a condamné Mansour Moussani à 20 ans de réclusion pour l’assassinat de son ex-compagne Aurélie Cataldo morte à 24 ans en septembre 2010 sur un trottoir du Creusot sous les coups de couteau. L’avocat général en avait requis 25.

01/07/2012

 

Taubira veut développer la justice «réparatrice»

 

 

 

 
 
 

Crédits photo : THOMAS SAMSON/AFP

 

 

 

La ministre souhaite faire progresser l'idée de faire se rencontrer des victimes et des auteurs de délits et crimes. La correspondance des époux Chenu avec un assassin de leur fils ont souvent inspiré les promoteurs de la «justice réparatrice».

 

 

En marge du procès pénal, la rencontre entre l'auteur d'une infraction et sa victime peut s'avérer réparatrice. L'idée fait son chemin en France, en suivant l'exemple de la Belgique où des médiateurs facilitent ces rencontres en prison.

 

 

Le débat s'est ouvert, jeudi à Bourg-en-Bresse, lors des XVII es assises de l'Institut national d'aide aux victimes (Inavem). La garde des Sceaux Christiane Taubira, attendue ce vendredi dira qu'elle souhaite déveopper ce sujet dans notre pays.

 

 

C'est une pratique importée du Canada, où elle est baptisée «justice restaurative». En Belgique également, des médiateurs facilitent les rencontres en prison entre les condamnés et les victimes.

 

 

Réparation, réinsertion...

 

 

Dans l'Hexagone, le concept n'avait jusqu'à présent pas fait beaucoup d'émules, bien qu'il soit défendu par une association spécialement crée par Stéphane Jacquot, élu UMP très investi sur ce sujet, et plusieurs magistrats de renom, comme Yves Charpenel.

 

 

Dans ce cadre, des parents ont entretenu une correspondance avec le meurtrier de leurs fils. Dans une première approche, des victimes ont rencontré des auteurs qui ne sont pas directement leurs agresseurs.

 

Une façon de ne pas être mis immédiatement en présence de son bourreau.

  

 

Mais de quelqu'un qui.. .s'en rapproche.

 

 

Une expérimentation avait été menée à partir de la mi-2010 à la maison d'arrêt de Poissy (Yvelines).

  

 

Les rencontres avaient pour objectifs la réparation pour la victime, et la réinsertion pour le coupable.

  

 

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/06/29/01016-20120629ARTFIG00512-taubira-veut-developper-la-justice-reparatrice.php

 

 

 

 

Ndlr. A quand les excuses des parents de victimes pour avoir laissés leurs proches croiser le chemin de leurs bourreaux ??

 

 

Où l'on parle d'assassins

23/06/2012

 

 

A propos du lâche assassinat des deux femmes gendarmes de Collobrières, Audrey Berthaud 35 ans et Alicia Champlon 29 ans.

 

D'après le blog de Robert Ménard.

23/06/2012

 

A propos du lâche assassinat des deux femmes gendarmes de Collobrières,  Audrey Berthaud 35 ans et Alicia Champlon 29 ans.

 

D'après le blog de Robert Ménard.

Si la peine plancher avait été appliquée à celui qui devait les tuer quatre jours plus tard, les deux jeunes femmes gendarmes abattues à Collobrières, dans le Var, auraient été sauvées.

 

 Et oui, Abdallah Boumezaar, jugé le 13 mai en comparution immédiate pour des violences sur sa mère, n’a été sanctionné que de… six mois de prison avec sursis et trois ans de mise à l’épreuve.

 

 Au lieu des deux années qu’une peine plancher appliquée avec rigueur lui aurait values ! Aujourd’hui, si les magistrats n’avaient pas fait preuve d’une telle mansuétude, Alicia Champlon et Audrey Berthaut seraient en vie. Et deux enfants ne pleureraient pas leur mère.

 

Six mois de prison avec sursis pour un homme déjà condamné pour trafic de drogue, vol, violence.

 

 Six mois de prison avec sursis pour un voyou déjà détenu pendant six années derrière les barreaux.

 

 Six mois de prison avec sursis pour un multirécidiviste qui venait de s’en prendre à sa propre mère : « Il est malade, mon fils » a-t-elle raconté, « il m’a frappée, fracassé la tête contre une porte. J’ai porté plainte. Il voulait me tuer. »

 

Je ne dirai rien ici des magistrats de Toulon qui ont prononcé cette « condamnation ». Je rappellerai simplement que la gauche veut supprimer les peines planchers, toutes les peines planchers pour les délinquants déjà condamnés.

 

 Cette même gauche qui s’apprête à rayer d’un trait de plume la « rétention de sécurité », c’est-à-dire la possibilité de maintenir en prison de grands criminels – sexuels notamment – à la fin de leur peine, s’ils s’avèrent toujours dangereux…

 

 Les mêmes toujours qui veulent se débarrasser des tribunaux correctionnels pour les mineurs de 16 à 18 ans, récidivistes, susceptibles de se voir condamner à plus de 3 ans de prison…

 

 Cette gauche enfin qui veut imposer aux policiers et aux gendarmes d’établir une attestation chaque fois qu’ils procèdent à un contrôle d’identité, les soupçonnant de pratiquer des « contrôles aux faciès », bref d’être d’horribles racistes…

 

 

 

 

Que Christiane Taubira, la garde des Sceaux, applaudisse des projets mettant en cause, ni plus ni moins, notre sécurité, je n’en suis pas étonné tant elle incarne le laxisme, la politique de l’excuse, la mauvaise conscience propre à toute une partie de la gauche.

 

 Mais Manuel Valls ? Maire d’une ville de banlieue, il a fait entendre, dans le passé, un son de cloche bien différent. Installé Place Beauvau, il se tait.

 

 Inquiétant.

 

L’historien Martin Malia expliquait à propos de l’Union soviétique :

Le socialisme intégral n’est pas une attaque contre des abus spécifiques du capitalisme mais contre la réalité.

 

 C’est une tentative pour abroger le réel…

 

Nous n’en sommes pas là, bien sûr.

 

 Mais nous en empruntons le chemin.

 

Robert Ménard

Albi, vendredi 1er juin.

 

Farouk Y. 22 ans, et son copain (il a 17 ans, c’est un mineur au casier judiciaire chargé, il faut le protéger, son nom à consonance musulmane ne sera pas divulgué) ont frappé à mort Valentin Rivié, 24 ans.

 

Une vie prometteuse – Valentin se préparait à la mise en scène et avait déjà réalisé des courts-métrages – fauchée en quelques minutes par un fauve laissé en liberté par une justice dont il faut montrer du doigt la lourde responsabilité, et la révulsante indifférence.

 

Albi est sous le choc, après ce crime odieux, gratuit, inutile, qui a pris la vie d’un jeune homme brillant et a laissé la vie à une épave, Farouk. Albi a organisé une marche blanche.

 

Cela se passe après une soirée d’anniversaire, à 3 heures du matin, dans un quartier « normal » d’Albi. Romain, l’unique survivant, également victime et témoin de la scène, et Valentin, rentraient chez eux à pied le long des berges du Tarn. Ils sont suivi par deux arabes parce que Valentin affiche une attitude provocante : il a un sac à dos.

 

Les deux arabes s’approchent des jeunes hommes et leur demandent une cigarette. Romain avait du tabac à rouler et leur en donne.

 

Puis ils remarquent que Valentin avait une bouteille de Rhum à la main – qu’il avait rempli de jus de fruit. Les deux arabes demandent à en boire.

 

Au bout d’un moment, Romain se rapproche du grand pour reprendre la bouteille, et là, le drame se déroule, en quelques instants.

 

Le mineur « surgi dans mon dos pour me gazer », explique Romain.

 

Et Valentin, lui demande Pierre-Jean Pyrda, le journaliste de la dépêche ? (1)

 

« Au même moment, le grand lui a donné un coup de bouteille qui l’a atteint à la tempe. Valentin s’est effondré sur le trottoir. »

 

Cette agression a duré combien de temps ?

 

« ç’a été très vite. Peut-être une minute. »

 

Et vous avez la conviction que ce n’était pas une rencontre fortuite ?

 

« Oui, je pense qu’ils nous ont repérés, que c’était organisé. C’était un guet-apens. Pendant l’agression, il y avait un jeune couple qui attendait sur la route. Ils n’ont pas bougé du tout. ça m’a paru bizarre. »

 

« Un jeune passant s’est porté à notre secours, La police est intervenue très vite. Je les remercie »

 

Transporté à l’hôpital de Purpan à Toulouse, Valentin est mort, frappé par cette bête sauvage.

 

Mais Farouk le criminel et le mineur n’en sont pas à leur première agression.

 

Le 29 avril dernier, Farouk monte dans un bus, à 5 heures du matin, à la sortie de la discothèque l’Arena à Lagrave. Le chauffeur demande à deux jeunes d’éteindre leur cigarette et d’arrêter d’arracher les cache-lumières de sécurité du bus.

 

Devant leur refus et les provocations, le chauffeur décide de les expulser.

 

C’est alors qu’intervient Farouk, lui aussi très imbibé. Il prend à partie le chauffeur, le pousse et le sort violemment du bus avant de le rouer de coups. Le chauffeur s’en sortira avec des hématomes, des contusions diverses et 15 jours d’arrêt de travail.

 

Et ce n’était pas la première fois.

 

Pourtant, le juge le remet en liberté, avec une condamnation de 8 mois avec sursis.

 

Le juge dort tranquille. Il n’est pas du tout responsable de la mort de Valentin. Ce n’est pas de sa faute s’il a relâché Farouk, ce qui a permis l’acte fatal, non. Le juge vous expliquera très calmement et très posément, si vous le connaissez, qu’il a fait son travail avec la plus grande rigueur professionnelle, et qu’il n’a pas pour rôle de réparer les fautes commises par la société vis à vis des jeunes défavorisés issus de l’immigration.

Car les juges, en France, considèrent, même après le crime, que Farouk est la victime, et qu’il ne faut pas l’accabler, ni le punir trop sévèrement.

 

En France, les juges ne s’intéressent pas à la sécurité des gens, mais à la protection des « victimes de la société ».

 

En France, les juges ne sont pas formés pour empêcher les coupables de nuire aux innocents, mais pour « donner une chance aux jeunes », pour « ne pas faire des coupables les boucs-émissaires de la violence ».

 

Les juges sont le maillon de l’Etat qui sert à protéger les honnêtes gens contre la violence des prédateurs. Il n’en existe aucun autre.

 

Dès l’instant où les juges sont endoctrinés par l’idéologie minorité = victime de la gauche, et qu’ils relâchent systématiquement les délinquants violents multi-récidivistes, les honnêtes gens ne sont plus en sécurité.

 

C’est la situation à laquelle sont confrontés, en France aujourd’hui, les honnêtes gens.

 

A Villeurbanne, l’agression antisémite des trois jeunes juifs qui a fait couler une larme de crocodile au premier ministre, et a permis à Manuel Valls de rôder sa langue de bois toute neuve, s’est terminée par la mise en examen de quatre musulmans.

 

Le juge a décidé de les laisser en liberté, « sous contrôle judiciaire », ce qui va leur permettre de massacrer d’autres citoyens… (le parquet demandait le placement en détention). Le premier ministre Ayrault avait déclaré : « faisons preuve de fermeté et en même temps éduquons, transmettons.» Je ne sais pas ce qu’il a prévu pour éduquer et transmettre, mais si c’est aussi comme la fermeté, me voilà totalement rassuré.

 

A Albi, le procureur Pascal Suhard avait demandé que Farouk écope d’un an de prison dans l’affaire du bus. Je sais qu’il pense au jeune Valentin, à sa famille, à ses amis. S’il avait été suivi par le juge, Farouk serait là où l’on met ceux dont la société a besoin d’être protégée, et Valentin serait toujours en vie.

 

La mort de Valentin à Albi, la remise en liberté des antisémites de Villeurbanne, nous apprennent qu’il ne faut pas avoir confiance en la justice française pour éloigner les bêtes sauvages et les criminels.

 

Toutes mes condoléances à la famille de Valentin Rivié.

 

Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :

© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

Le 22 Aout 2009, lors des fêtes de Nay ( Pyrenées Atlantiques)

Jeremy Censier, 19 ans qui rentrait chez un ami pour se reposer est violemment agressé sur le pont de Nay par un groupe d'"individus" dont on apprendra plus tard qu'ils sont issus des "gens du voyage".

 

Passé a tabac et poignardé a 7 reprises il succombera a ses blessures..

  

Le principal suspect, Samson G...... est arrêté et finira par avouer son crime pendant la garde la vue ..

 

Emprisonné a Pau, il a été libéré le 14 Septembre 2011 pour vice de forme ...

 

Ecoutez cette vidéo enregistrée par le père de Jeremy, vous pouvez signer ou ne pas signer la pétition, mais simplement pour ne pas dire: je ne savais pas ....Prenez le temps de le faire...

 

  http://www.pacte2012.fr/video.html

Denise Pombieilh et Thierry Sargardoyo, les avocats de Samson G..... se félicitent de la remise en liberté de leur client !....

Voici la dernière vidéo du père de Jérémy, il a interpellé les candidats a l'élection présidentielle, vous pourrez prendre connaissance des pojets en matière de lois pénales promises par Hollande et Sarkozy.

 

Prenez le temps de l'écouter, vous avez des enfants, petits enfants, femme ou conjoint ??

 

Et ceci peut vous arriver demain ...

  

Alors ne dites pas: ça ne me regarde pas..

 

 

Océane avait 8 ans et habitait un petit village tranquille, Bellegarde dans le Gard.

 

Sa seule faute ? Samedi soir, avoir voulu aller chercher un jeu vidéo chez une de ses petite copine habitant a 300m de chez elle..

 

A 19h il fait nuit depuis déja longtemps et il pleuvait a verse, alors bien sur on peut se demander pourquoi les parents ne l'on pas empêchée ?....

 

Malheureusement elle a croisé sur le peu de chemin qu'elle avait a faire un monstre de 25 ans père pourtant lui aussi de 3 enfants dont le dernier est âgé d'a peine deux mois..

 

Mais enfin dans quel monde vivont nous si nous ne pouvons plus laisser les enfants sortir dès la tombée de la nuit?...

 

La fillette a été asphyxiée et poignardée a quatre reprises avant de subir des attouchements sexuels..

Agnès avait 13 ans, elle était élève de 3è dans le collège-lycée Cévenol de Chambon-sur-Lignon.

 

le 16 Novembre on signale sa disparition.

 

Le 18 on retrouve sont cadavre incendié dans un bois a quelques centaines de mètres du Lycée.

 

Elle a été violée et massacrée.

 

Le meurtrier présumé est lui aussi un élève de ce collège, il a 17 ans  et il est sous contôle judiciaire pour un viol commis l'année dernière !..

 

Viol a la suite du quel il a fait 4 mois de prison avant d'être relaché dans la nature...

 

Le controle judiciaire prévoyait qu'il soit placé dans un internat sans visites possible de ses parents mais uniquement de ses grand-parents ??

 

Les responsables du collège disent avoir ignorés le motif de l'incarcération de leur élève et ne s'être pas "immiscés" dans sa vie privée qui selon eux ne les regardait pas..

 

Que doit on pensé des psychologues qui l'ont laissé sortir disant qu'il n'était pas dangereux ????