Le gouvernement gouverne ! Enfin, il essaie...

Le 26/12/2012

Algérie : les preuves de la trahison de Hollande (vidéo 3′)

 

 

Publié le 26 décembre 2012 par Paul Le Poulpe -
 
 

En trois minutes, les auteurs du film « La valise ou le cercueil », Charlie Cassan et Marie Havenel, nous montrent l’ampleur de la trahison de celui qui ose encore se prétendre président de tous les Français, quand il s’est prosterné devant les assassins du FLN. A faire connaître à un maximum de vos amis.

 

Paul Le Poulpe

Le 21/12/2012

Lettre ouverte au président normal.

Courrier envoyé à Monsieur François Hollande ! d’une retraitée qui ose s’exprimer ! (vous pouvez l’imprimer, et l’adresser à l’intéressé !)

 

 Monsieur le Président, J'espère que votre secrétariat va être submergé par le courrier des retraités !!

 

 Ceux qui sont en retraite de nos jours n'ont pas travaillé 35 heures par semaine ! n'ont pas eu 5 semaines de congés payés, 20 jours de RTT, n'ont pas commencé à travailler entre 22 et 25 ans, et pour beaucoup ont travaillé après 60 ans, en ayant commencé à 16 ans voire moins !

 

Et, aujourd’hui ils devraient être pénalisés, quelle honte. Ils ont largement cotisé.

 

 Les retraités aident leurs enfants, petits enfants, le chômage touche tout le monde, les études sont de plus en plus chères, et les grands-parents sont continuellement sollicités, alors STOP .

 

 Il y a des économies à faire dans ce pays, mais les Enarques, les élus, sont tellement loin des réalités quotidiennes, ils faudrait qu'ils essayent de vivre à 4 personnes, avec un SMIG et l'APL, au bout de 8 jours ils seraient « raides morts » … !!

 

 j'ai élevé mes enfants pendant 8 ans et ne le regrette pas, même si ma retraite n'est pas complète ; avec 1100 euros de retraite par mois il faudrait que je sauve le pays ??

 

 des amies à moi, ouvrières en couture, touchent aujourd'hui 900 € / mois et les cas comme celui-là ne manquent pas..

 

 ces femmes dont il est question, vont sauver la sécurité sociale ?

 

 - honte à vous, gens de gauche, près du peuple soit disant. je n'ai pas fait de grandes études, mais je peux vous donner quelques solutions pour faire des économies :

 

- supprimer le SENAT qui ne sert à rien, et que vous avez tant décrié quand vous n'étiez pas en poste ! 80% de ces gens ont largement dépassé l'âge de la retraite, et continuent de percevoir des revenus indécents pour dormir dans des sièges confortables !

 

 - supprimer les budgets alloués par l'Etat aux organisations politiques ( des millions d'euros !) la presse quotidienne, les journaux télévisés, débats télévisés, les radios ) ça suffirait largement à se faire connaître et à dévoiler des programmes, et faire des promesses jamais tenues !

 

 -supprimer les "enveloppes plaisir" des députés, ce qui n'existe pas dans les pays nordiques bien mieux gérés que le nôtre, et de toutes façons ne rembourser les frais que sur justificatifs comme cela se fait dans les entreprises.

 

 ces enveloppes sont NOS impôts, alors STOP ! - stop aux voitures de fonction, aux pleins d'essence, y compris les week-end pour se rendre dans leur résidence secondaire.

 

 - un peu plus de contrôles pour éviter les arrêts maladie de complaisance, qui combleraient un peu le trou de la CPAM.

 

- STOP aux primes allouées aux médecins qui ne prescrivent pas trop de médicaments ! ils font tout simplement le travail consciencieusement, en évitant d'engraisser les grands laboratoires pharmaceutiques, si bien défendus par Me Bachelot, HONTE à elle, prête à tout pour exister.

 

 - passer des accords avec les dirigeants des pays du MAGREB, pour que les Voyous étrangers, soient emprisonnés dans leur pays pour la durée de leur peine, et ne soient pas à la charge de notre Pays.

 

 Il y aurait moins de récidivistes c'est sur ; les prisons chez eux sont de vraies prisons et non des centre de loisirs qui nous coûtent très cher.

 

 - STOP à l'AME véritable pompe aspirante !! - STOP au secrétariat de la première Dame qui n'est pas élue et qui nous coûte très cher ! mais il faut suivre la « ligne » Mitterrand !! et là, la presse partisane se tait !

 

 - STOP aux voyages à l'étranger avec autant de ministres, quand 2 ou 3 suffiraient ; ces déplacements sont simplement des "remerciements" des vacances offertes gracieusement...

 

- supprimer le 8 mai, ne faire qu'une seule fête pour nos Anciens combattants le 11 novembre.

 

 Cette journée travaillée comblerait un peu le trou de la sécurité sociale, ou aiderait les maisons de retraite !

 

 En France plus personne ne travaille en Mai et Aout, il faudrait sans doute remettre les valeurs travail à la mode !

 

 Les retraités peuvent se permettre de dire ça, car le travail ils le connaissent ! ils ont pratiqué !

 

 - les Retraités ont le temps d'aller en vacances, en week end, au cinéma, au restaurant, au club de sport (pour certains) et alors ? ce n'est pas gratuit pour eux, et ils contribuent à l'économie du Pays ! et c'est encore sur cette population que l'on veut frapper ?

 

- on peut aussi récupérer sur les abattements d'impôts octroyés aux journalistes!

 

C’est vrai qu'ils ont largement contribué à l'arrivée de la gauche, et qu'il faut les ménager et les récompenser ... mais : motus ! - les retraités propriétaires montrés du doigt !! mais ils se sont privés toute leur vie pour ne plus avoir de loyer à payer avec leur retraite ; il faut donc pénaliser les gens prévoyants pour aider ceux qui ont profité de la société toute leur vie ??

 

 - et maintenant ils vont être imposés sur un « loyer fictif » de leur maison payée ! Vous n'ignorez pas les tarifs d’hébergement des maisons de retraite... 2200 euros et plus/mois, Qui peut financer cela ?

 

Celles et ceux qui n'en n’ont pas les moyens se retrouvent dans des mouroirs, alors que les prisons sont de plus en plus luxueuses et gratuites !! Je vais arrêter là ! car mon bloc à lettres n'y suffirait pas, et je pense que vous n'irez pas au bout de ce courrier !

 

 Le jugement des petites gens dérange et ne vous semble pas digne d'intérêt.

 

La crise a bon dos, vous étiez au courant et vous saviez bien que vous ne pourriez tenir les promesses faites en campagne (mariages des homos, vote des étrangers, aide aux Roms ..la fameuse « relance » dont vous aviez le secret !) c'est ça le discours de la Gauche ! et des donneurs de leçon … que vous êtes !!

 

 Ne méprisez pas ce message et agréez, Monsieur le Président, mes salutations.

 

 (Cette lettre exprime ce qu’un très grand nombre de personnes découvrent, pensent, veulent dire haut et fort ! Hélas … je suis sûre que son destinataire, principal intéressé, s’en moquera, enfermé dans sa « normalitude » … et imbu de sa haute fonction de … Président élu ! … à capacités réduites !!)

Le 18/12/2012

Délinquance : la dégradation se poursuit

 

L’explosion des crimes et délits se poursuit en novembre, avec 15.000 victimes de plus. Le Figaro a analysé les chiffres. [...]

 

 

Hebergeur d'image

 

 

Il faut dire que le bilan statistique de novembre n’est guère réjouissant. La délinquance générale a augmenté de 5,6%, avec près de 15.000 victimes de plus en un mois (295.000 faits constatés contre 280.000 en novembre 2011).

 

Derrière ce «chiffre unique», trop général pour être significatif, se cache une dégradation tous azimuts.

 

 Les atteintes volontaires à l’intégrité physique, principalement des coups et blessures volontaires, ont augmenté de 5% (40.500 faits enregistrés), les atteintes aux biens, essentiellement des vols, de 6,8% (191.600 faits) et les infractions économiques et financières, véritables plaies en ces temps de crise, de 13,2% (27.000 faits). [...]

 

Face aux polémiques sur les chiffres, l’hôte de Beauvau avait vertement réagi à l’Assemblée, le 14 novembre dernier, se laissant aller à un dérapage verbal.

 

 «Le retour du terrorisme en France, c’est vous !», avait-il lancé, furieux, aux députés UMP qui, comme Éric Ciotti, l’interpellaient.

 

 Le ministre a regretté depuis ces propos, après un recadrage amical du président de la République en personne.

 

Au premier janvier prochain, l’outil statistique du ministère de l’Intérieur va changer.

 

 Il est censé être plus complet. Beauvau annonce même la généralisation des préplaintes en ligne pour les victimes.

 

Autant de réformes imaginées sous Sarkozy, mais qui avaient singulièrement pris du retard en plein combat présidentiel…

 

Manuel Valls veut désormais aller jusqu’au bout du processus.

 

 Enfin la vérité statistique ? Son modèle Georges Clemenceau le disait, en son temps: «Ce que nous dénommons vérité n’est qu’une élimination d’erreurs.»

 

Le Figaro

Le 14/12/2012

PMA, Hollande et son poulailler.


 

 

Hier, c’était mercredi. C’est sans doute pour cela qu’au gouvernement, il y avait comme une ambiance de Dîner de cons, avec des quiproquos à la Juste Leblanc.

 C’était au sujet de la Procréation Médicalement Assistée pour les couples de lesbiennes. On ne savait pas, on ne savait plus, le faux du vrai et qui avait affirmé quoi.

Taubiraconte n’importe quoi et Belkasème le doute.
 
Najat a dit que Christine avait dit qu’elle était plutôt pour, mais en fait ce n’était pas vraiment vrai, elles s’étaient mal comprises, Christine parlait en fait de l’adoption…

Cette migraine que Hollande à dû avoir au milieu de ce poulailler caquetant.

 Mais vous savez comment il est : c’est un chef, un vrai, qui tranche dans le vif à la manière de Woody Allen (« À la maison c’est moi qui commande, ma femme se contente de prendre les décisions. »). Pour la PMA, ce sera donc l’Assemblée nationale qui verra. Ça, c’est fait.
 
Ouf, il a eu chaud, mais il est content. Une passe à l’aile pas si mal réussie.

 Sauf qu’il sent bien que tout ça n’aura jamais de fin. La PMA ouverte aux lesbiennes, cela peut encore passer (cela va coûter un bras à la Sécu mais enfin, elle n’aura qu’à dérembourser à nouveau quelques médicaments pour les vieux. Ceux-là, aucune chance qu’ils descendent dans la rue, avec le déambulateur, ce n’est pas du tout commode), mais quid des couples gay ? Pas du genre discrets, eux, et à se laisser marcher sur les pieds. Est-ce que c’est leur faute s’ils n’ont pas d’utérus ? Ils ne l’ont pas plus choisi que d’autres, de naître pauvres.
 
Alors, il faut bien qu’ils s’en fassent prêter un : le moyen de faire autrement ? C’est bien ça, le socialisme, la redistribution des richesses, de toutes les richesses, y compris physiologiques. Pourquoi n’y aurait-il que les lesbiennes à avoir le droit de pouponner sous prétexte qu’elles auraient eu la chance d’avoir reçu l’organe ad hoc dans leur dotation initiale ? C’te discrimination sexiste !
 
Vous m’avez compris, pas moyen d’y couper : après la PMA, il va falloir autoriser aussi la GPA (Grossesse Pour Autrui), bref, les mères porteuses. Et là… Hollande sent que la migraine revient.
 
Parce que ça, c’est encore une autre chanson. Certaines, qui sont archi-pour les PMA ouvertes aux lesbiennes, sont archi-contre les GPA (instrumentalisation par l’homme, selon elles, du corps de la femme), comme Yvette Roudy ou Carine Favier, la présidente du planning familial. Autant dire que le poulailler n’a pas fini de caqueter.
 
Sans blague, on ne peut pas lui ficher un peu la paix ? Quelquefois, il pense à ce pauvre Louis XVI, qui n’aimait rien tant que se retirer dans le calme de ses appartements pour bricoler des horloges et que l’on forçait à prendre toutes sortes de décisions compliquées. Lui, ce qu’il aime bricoler tranquillement, ce sont les impôts. Et en cela, il faut avouer qu’il ne se débrouille pas mal. Pourvu que ce charmant hobby ne l’empêche pas, comme l’autre, de voir arriver la révolution.
 
Gabrielle Cluzel, le 14 décembre 2012

Le 13/12/2012

Gouvernement : le radeau de la Méduse.

Par

Josée Pochat pour Valeurs Actuelles

Constat. Une cuisante défaite dans les urnes vient sanctionner six mois d’amateurisme et de cacophonie gouvernementale. Jusqu’à son apothéose, avec la gestion calamiteuse du dossier ArcelorMittal.

 

L’équipe gouvernementale nous offre un spectacle rappelant à la fois le “radeau de la Méduse” et la Berezina, dont on a justement fêté le bicentenaire cette année. Le premier pour ses déchirements, la seconde pour la débâcle.

 

 L’UMP redoutait la sanction dans les urnes du duel Copé-Fillon. La crise qui secoue la droite a tellement mobilisé les médias que l’on en avait presque oublié les six premiers mois ratés du quinquennat et la chute vertigineuse du couple exécutif dans les sondages.

 

 Les trois législatives partielles viennent de le rappeler. La droite arrive en tête dans les trois circonscriptions en jeu, et dans le Val-de-Marne le socialiste est même éliminé dès le premier tour. Plus qu’une sanction, c’est une cuisante défaite pour le gouvernement.

 

 Amateurisme à tous les étages, manque de vision, ministres qui se contredisent, sous l’oeil du premier d’entre eux, souvent dépassé, jusqu’à provoquer le doute sur ses capacités.

 

 En mai dernier, tous ou presque étaient des inconnus. Tour d’horizon d’une équipe gouvernementale dépassée par les événements, que ses quelques piliers et sa star, Manuel Valls, n’arrivent pas à sauver.

 

LES ARCHAÏQUES

  

Christiane Taubira, la laxiste

  

À peine nommée, la nouvelle garde des Sceaux a mis l’Élysée dans l’embarras, en annonçant le renoncement aux tribunaux correctionnels pour enfants.

 

Marisol Touraine, la mal-aimée

  

En six mois, la ministre de la Santé, décrite comme froide et hautaine, a réussi à se mettre à dos pratiquement toute la profession médicale.

 


LES ÉVANESCENTS

  

Pierre Moscovici, l’homme invisible

  

Pierre Moscovici traverse la salle des Quatre-Colonnes à l’Assemblée. Visage fermé, l’air presque dépressif. Il évite les journalistes.

 

Aurélie Filippetti, l’interdite de chéquier

  

Oubliées les grandes envolées lyriques des promesses de la campagne : « Le budget de la culture sera sanctuarisé […] L’austérité ne doit pas être aveugle. » Filippetti gère la pénurie,

 

Delphine Batho, à contre-emploi

  

Qui sait que Delphine Batho est ministre de l’Écologie ? Personne, ou presque.

 

Fleur Pellerin, à côté de la plaque

  

La ministre déléguée à l’Économie numérique et aux PME était, disait-on, l’une des étoiles montantes de la nouvelle génération, au PS. Pour l’instant, la jeune femme de 39 ans, remarquée pour ses origines coréennes, est un peu écrasée par Bercy et n’a pas encore réussi à habiter son sujet.

 

Marylise Lebranchu , aux abonnés absents

  

Depuis qu’elle a reconnu, en juillet, que les fonctionnaires devraient affronter un « grand moment de rigueur », on n’a pratiquement plus entendu parler de la ministre de la Fonction publique.

 

 

 

 

 

 

LES BOULETS

 

 

Arnaud Montebourg, l’ingérable

 

Comme les temps ont changé depuis qu’Arnaud Montebourg, en juillet, avait déclaré : « Le président de la République me manifeste son soutien, le premier ministre m’épaule, les collègues sont affectueux et les citoyens m’écrivent… » Le tonitruant ministre du Redressement productif portait alors l’étendard du volontarisme gouvernemental. Il est le principal boulet d’un gouvernement en déroute.

 

Cécile Duflot, l’éternelle ado

  

C’est peut-être parce qu’elle dit d’elle-même avoir « le charisme d’une huître » que la ministre du Logement fait tout pour se faire remarquer. À 37 ans, elle est visiblement très fière de son côté “éternelle ado”, pourtant caricatural.

 

Vincent Peillon, le gaffeur

  

C’est plus fort que lui. Peillon, venu défendre la refondation de l’école sur France Inter, déclare que la question de la dépénalisation du cannabis est posée sérieusement. Alors que Jean-Marc Ayrault vient de soutenir le contraire.

 

Jérôme Cahuzac, le boxeur.

  

Redoutable, critiqué pour sa dureté, le ministre du Budget a la réputation d’un boxeur, sport qu’il affectionne.

 

LES PILIERS

  

Manuel Valls, la star

  

Le premier flic de France voulait modifier le regard sur la gauche en matière de sécurité et incarner la fermeté républicaine. Carton plein. Il est le seul ministre plébiscité par les sondages. Le représentant de l’aile droite du PS n’hésite pas à bousculer la gauche, notamment lorsqu’il avait lâché : « Donner le droit de vote aux étrangers n’est pas une revendication forte de la société. » Son ascension est devenue presque gênante, on le compare régulièrement à Sarkozy. Certains le voient déjà succéder à Ayrault à Matignon, le Nouvel Obs l’a promu « vice-président » en une… Seul faux pas de celui qui vient de fêter ses 50 ans, mais de taille, dans l’Hémicycle, quand il lâche à l’UMP : « Le retour du terrorisme, c’est vous. »

  

Laurent Fabius, le vétéran

  

C’est le Juppé de gauche : ex-premier ministre, ex-patron de son parti, ex-dauphin (de Mitterrand, comme Juppé l’était de Chirac). Tout comme le maire de Bordeaux, Fabius a fini, raisonnablement, par renoncer à l’Élysée. Numéro deux du gouvernement, le patron du Quai d’Orsay a mis de côté sa vieille rivalité avec le chef de l’État. La période où il le surnommait « fraise des bois » et avait lâché : « Lui, président de la République ? On rêve ! » est paraît-il oubliée.

 

Michel Sapin, le bon petit soldat

  

Amusant qu’un parlementaire socialiste qualifie Michel Sapin, ami de plus de trente ans du président, de « bon petit soldat ». Justement, Hollande et Sapin se sont liés d’amitié en faisant, ensemble, leur service militaire. La petite histoire veut que les deux hommes aient été lâchés dans la campagne en pleine nuit, lors d’un exercice, avec un sac de commando de 12 kilos chacun, une carte et une boussole. Hollande avait craqué le premier, épuisé. Sapin aurait alors chargé sur son dos le sac de son camarade et retrouvé le chemin de la base.

 

Jean-Yves Le Drian, l’homme de mission

  

Membre du canal historique des “hollandais”, Le Drian tient à la posture d’homme de mission que lui confère son poste de ministre de la Défense. « Dans ce gouvernement bordélique de jeunes ministres ambitieux, l’objectif est de l’installer dans le carré de tête des ministres solides », avait confié l’un de ses conseillers.

 

Stéphane Le Foll, le garde du corps

 

Fidèle parmi les fidèles du président, il était déjà à ses côtés, sûr de son destin, quand ils n’étaient qu’une demi-douzaine à y croire. Le Foll ne cache pas son agacement quand un membre de l’équipe gouvernementale discute un ordre élyséen.

 

Najat Vallaud-Belkacem, la bonne élève

 

Ministre des Droits de la femme, porte-parole du gouvernement, la benjamine du gouvernement (35 ans) le reconnaît volontiers, elle éprouve encore de l’appréhension en entrant dans la salle de presse… où elle sort rarement de la lecture de ses fiches.

 

Photo © MaxPPP & © Leemage

 

 

 

 

 

 

 

Le 8/12/2012

Cécile Duflot remet la légion d’honneur à une fasciste

 

 

 

La ministre Duflot a décoré Madame Jacqueline Rouillon, maire fasciste communiste de Saint Ouen.

 

 

La ministre Duflot a récompensé Jacqueline Rouillon pour avoir fait de sa ville la 3e la plus endettée de France. Normal, le communisme ne peut se développer qu’en multipliant les pauvres.

 

 

La ministre Duflot a récompensé Jacqueline Rouillon pour avoir plombé chaque habitant de Saint Ouen d’une dette de 3111 euros.

 

 

 

Et la ministre Duflot a récompensé Rouillon pour avoir emprunté 43 millions d’euros en 2011, soit + 16.4% qu’en 2010, et + 66,1% depuis 2000.

 

 

 

 

 

 

 

Mais ce n’est pas tout.

Jacqueline Rouillon, maire PC de Saint-Ouen, a été élevée au grade de chevalier de la Légion d’Honneur pour avoir utilisé l’argent de la collectivité pour préempter tout appartement dont le prix de vente dépassait 3000€le m².

  

 

Fidèle à l’idéologie fasciste de son parti, elle a imposé aux promoteurs immobilier de vendre 10% en dessous du prix du marché. On appelle ça la dictature du prolétariat… sans prolétariat.

 

Mais ce n’est pas tout.

 

La maire communiste de Saint-Ouen a également été récompensée pour avoir fait de sa ville la 5e la plus violente de France. Normal, le fascisme ne peut se developper que dans un climat de terreur.

  

 

Le mois dernier, les habitants excédés manifestaient en scandant « Stop à la violence, Stop à la drogue ! ». Et voyant que Madame le maire refuse de faire régner l’ordre et respecter la loi, ils ont décidé de faire eux-mêmes barrage aux dealers, au risque de leur vie.

  

 

Moralité, si vous êtes maire, endettez votre commune comme en Russie soviétique, laissez s’installer les dealers et la violence qui les accompagne, jusqu’à faire pleurer des larmes de sang à vos administrés asphyxiés par vos taxes et par la peur, et vous aurez une chance d’être récompensé par cette ministre dont le compagnon déclare qu’il n’aime pas la France, ce qui ne doit probablement pas déclencher des scènes de famille.

 

 

Il serait temps, madame la ministre Cécile Duflot, que vous ajustiez vos putains de valeurs.

 

 

 

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Albert Bertold pour www.Dreuz.info

Le 7/12/2012

Michel Sapin est un menteur!..

Le 4/12/2012

Cécile Duflot fait la morale : on rêve !

 

(c) Christian http://www.stars-portraits.com/en/portrait-198091.html

cecile duflot|eglise|stupidité

 

Vu sur boulevard Voltaire

 

Mme Duflot et son gouvernement veulent apprendre à l’Église à faire la charité !

 

L’État providence est le siège de toutes les gabegies. Et il ose se poser en donneur de leçons sur le terrain caritatif.

 

 Voilà que nos ministres veulent se substituer aux autorités morales et décider à leur place de leur manière de venir au secours des plus pauvres et des plus démunis !
 
La ministre du Logement veut réquisitionner des immeubles pour faire face à l’effort de solidarité nationale qu’elle appelle de ses vœux face aux difficultés des plus pauvres à se loger.

 

Soit. Qu’elle exerce ses responsabilités. Soit. Mais de là à viser l’Église, en insinuant qu’elle ne ferait pas bon usage de ses biens et de son patrimoine, c’est une provocation.

 

Et de sous-entendre que cette institution millénaire aurait besoin de ses conseils pour savoir ce qu’elle a à faire et qu’il serait légitime de la menacer de sanctions dans l’hypothèse où elle n’accepterait pas de faire les efforts demandés. Pour qui se prend-elle cette petite gauchiste, chantre de la consommation des drogues douces, à qui il aura fallu un lynchage médiatique pour apprendre à s’habiller correctement ?
 
Mme Duflot est inculte.

 

 Elle ne connaît pas ses classiques. Elle ignore tout de l’histoire d’une Église qui lui est manifestement étrangère. Sans doute n’a-t-elle pas entendu parler de sœur Emmanuelle.

 

 Ni des petites sœurs des pauvres. Ni du secours catholique. Elle ne sait certainement pas qui est Frédéric Ozanam, fondateur de la société de Saint-Vincent-de-Paul.

 

Sans doute ignore-t-elle qu’il suffit de frapper à la porte d’un monastère bénédictin pour y être reçu, nourri et logé. A-t-elle remarqué que tous ceux qui sont dans le besoin se battent pour pouvoir tendre la main à la sortie des églises de France ?

 

« L’Eglise n’a pas attendu 2012 et les appels de Mme Duflot pour s’occuper des pauvres, elle le fait depuis 2000 ans » lui a répondu Charles Gazeau, le délégué épiscopal aux solidarités. Mais il n’est pas pire sourd que celui qui ne veut entendre.
 

 

Bernard Hawadier, le 4 décembre 2012

Le 3/12/2012

Manuel Valls est un comique…

Vu sur Boulevard Voltaire

Dans un de ses sketches, Coluche lançait : « En France, quand on est étranger, pour apprendre le français, il faut parler français. » Il ne pensait pas que cette blague deviendrait réalité.

 

La nouvelle circulaire sur les « sans-papiers » présentée par notre ministre de l’Intérieur, est du même tonneau. Il est prévu que pour « régulariser » un « sans-papiers », il faudra que celui-ci soit sur le sol français depuis plus de cinq ans et qu’il ait travaillé. Étonnant, non ? Comme dirait un autre grand comique.

 

La première question qui me vient à l’esprit : pourquoi appelle-t-on les clandestins des « sans-papiers » ?

 

 Ils ont des papiers mais pas français et sont en fraude dans notre pays. Ces clandestins, si nos lois étaient appliquées, n’auraient aucune vocation à rester en France. La tolérance qui leur est offerte est incompréhensible.

 

 Dans une période de grande crise économique, avec les nombreux problèmes que nous connaissons tant sur le plan de la pauvreté que du chômage, cette entorse aux lois de l’immigration est insupportable.

 

Le côté risible de la chose, c’est que le ministre de l’Intérieur, patron des flics qui doivent faire appliquer ces lois, rend officiel le fait que les clandestins travaillent.

 

 D’un coup, comme cela, il autorise tous les patrons voyous qui embauchent ces « sans-papiers » à bas prix, qui les exploitent, à continuer et à renforcer leurs recrutements.

 

Deuxième effet comique, ces clandestins doivent être sur notre sol depuis plus de cinq ans. Ainsi Manuel Valls explique que rien n’est fait et que rien ne sera fait pour expulser les clandestins de France.

 

 Malheureusement ce n’est pas que risible, loin s’en faut. Sous ses aspects rigides et imitant Nicolas Sarkozy à l’Intérieur, Valls fait exactement le contraire de ce qu’il affiche.

 

 En publiant ce texte sur les clandestins, avec la honteuse excuse que « c’est pour compenser l’arbitraire des préfets », il procède à une véritable reconnaissance du statut de « sans-papiers ».

 

Pendant ce temps-là, la droite de l’UMP, qu’elle soit forte, molle, sociale ou tout autre nom d’emballage cadeau, est et reste surtout inutile. Le combat des chefs qui fait rire toute la France (encore un festival comique) ne laisse aucune place à une opposition qui se devrait efficace.

 

Le chômage n’a jamais autant augmenté, tout le monde s’en fiche. Les socialistes font ce qu’ils veulent, personne ne s’en rend compte.

Alors, ne nous y trompons pas, sous ses aspects propres sur lui et sa communication de droite, Manuel Valls, au milieu des comiques de droite, est bien un comique de gauche.

 

Patrick Crasnier, le 3 décembre 2012

Le 2/12/2012

Montebourg, pourquoi mentir ainsi?

Vendredi, alors que des ouvriers de Florange campaient devant Bercy, le très sympathique Arnaud Montebourg descendit de son bureau les bras chargés de cadeaux.

 

 Des croissants que le Roi Mage partagea avec les sidérurgistes qui se crurent un instant dans les jardins d’Eden.
 

« La classe ouvrière va au paradis ». C’était le titre d’un joli film italien qui obtint, en 1972, la Palme d’Or à Cannes. Du cinéma, du bon cinéma…

 

Mais le ministre du Redressement productif tournait un autre film : « La classe ouvrière va en enfer ».

 

Ça, il n’allait quand même pas leur dire, sachant que, comme dans l’ancienne Égypte, on exécute souvent les porteurs de mauvaises nouvelles.

 

Il leur déclara qu’il les aimait, que François Hollande les adorait et que Jean-Marc Ayrault épousait leurs angoisses au point de n’en pas dormir la nuit.

 

Il leur annonça aussi qu’il avait un investisseur pour reprendre Florange à l’affreux Mittal : un investisseur à 400 millions d’euros, un vrai, un aciériste !

 

 Il leur rappela également que, selon l’expression consacrée, toutes les options restaient sur la table, y compris la nationalisation maintes fois évoquée par les ténors du gouvernement.

 

Puis, ayant engouffré son dernier croissant, le généreux Don Quichotte (idolâtré par quelques Sancho Pança, dont certains très à droite), le paladin du « made in France », le ministre patriote regagna ses bureaux. Avec un prometteur : « Je ne peux rien vous dire de plus ; le dossier est maintenant entre les mains du président de la République. » Autrement dit, dans celles de Dieu, le bon Dieu, Dieu qui aime les pauvres et les hauts fourneaux.

 

Le jugement de Dieu fut rendu le lendemain.

 

 Rien ! Nib de nib ! Que dalle ! Des clous ! Des nèfles ! Les hauts fourneaux resteraient éteints (qui en avait douté, à l’exception des ouvriers de Florange, abusés par les bonimenteurs roses ?).

 

 La nationalisation ne se ferait pas.

 

 Et, dédaigneusement, Lakshmi Mittal avait lâché, dans la sébille que lui tendait François Hollande, une aumône de 180 millions d’euros. Loin, très loin des 400 millions du fabuleux (du mot fable) aciériste sorti de son chapeau par l’excellent illusionniste qu’est M. Montebourg.

 

Pourquoi mentir ainsi ? Pourquoi mentir toujours ? Les Pinocchio savent pourtant que ça se verra, que leur nez va se rallonger. Et nous ne sommes même pas en campagne électorale quand, toutes tendances politiques confondues, le mensonge peut fournir des munitions pour une éventuelle victoire… Un mystère.

 

 Oui, pourquoi ? Peut-être pour gagner encore un jour de paix toujours bon à prendre… Peut-être parce que le mensonge est dans leur nature comme il est dans celle du scorpion de piquer et de tuer… Nous voilà prévenus.

 

A l’entrée de la Hollandie, devra désormais figurer l’avertissement que Dante plaçait aux portes de son enfer : « Lasciate ogni speranza voï ch’entrate » (« Abandonnez tout espoir, vous qui entrez ici »).

 

 Les plus cyniques des compères de M. Hollande préfèreraient sans doute : « Arbeit macht frei » (« Le travail rend libre »).

 

 Mais la seule plaque disponible se trouve loin, très loin. En Pologne. Et en plus, ses droits sont strictement réservés.

 

Benoît Rayski, le 2 décembre 2012

Le 1/12/2012

Gesticulations stériles de "l'éolienne" Bressanne.

Montebourg n'est qu'un fat prétentieux en perpétuelle représentation.

Imbu de lui même et fier de son image de looser.

Il passe à nouveau pour un "guignol" dont la parole n'a aucune crédibilité... son affaire de nationalisation n'était qu'une menace de chantage, son repreneur n'a existé que dans son imagination et les millions de l'inexistant repreneur n'avaient bien sûr pas plus d'existence que leur propriétaire!

 

 Conclusions: les salariés concernés se sentent cocus et viennent s'ajouter à la liste de ceux très nombreux qui ont le sentiment de l'avoir été par Hollande!

 

 Mittal a subit un chantage et à moment il va forcément considérer que l'accord qu'il a signé l'a été sous la contrainte de ce chantage et il va agir en conséquences.

 

 Les investisseurs étrangers voyant le peu de sérieux et l'amateurisme des gouvernants actuels vont prendre les mesures pour éviter de tomber dans le guépier et soit se tirer en douce avec beaucoup de précautions soit surtout éviter de venir.

 

 Enfin, Montebourg que la moindre décence et le minimum de fierté personnelle devrait conduire à démissionner n'en fera rien.

 

 Au contraire, comme toujours en pareil cas d'énorme bétise dans la fonction publique, son supérieur direct le félicitera!

 

 Tout va bien sous la protection de Normal 1er.

Le 22/11/2012

La loi de finances pour 2013 ne comporte pas que des augmentations d’impôt. La taxe de délivrance d’une première carte de séjour sera par exemple diminuée.

 

Au lieu de payer entre 200 et 385 €, l’immigré paiera désormais entre 150 et 280 €.

 

Les exonérations seront pour leur part élargies à certains mineurs, travailleurs saisonniers ou retraités.

 

Mais tous les étrangers ne sont logés à la même enseigne : les travailleurs qualifiés déjà titulaires d’un contrat de travail ne seront plus exonérés de la taxe sur les titres de séjour…

 

Autrement dit, l’exonération sera avant tout réservée aux populations susceptibles d’être la charge de la communauté nationale. Déficit, déficit…

 

Olivier Bertaux

Le 21/11/2012

Assemblée nationale / logement social : interventions de Marion Maréchal-Le Pen et Gilbert Collard

Admirez l'arrogance avec laquelle la ministre au regard bovin élimine les amendements présentés par les 2 députés représentants près de 20% des suffrages exprimés aux dernières élections!..

Le 17/11/2012

500.000 manifestants dans les rues contre le mariage gay.

Une claque de plus pour les guignols qui nous gouvernent.

Le Figaro :

 

"Dans la capitale, la «manif pour tous», premier grand défilé contre le projet de mariage gay, a gagné le pari de la mobilisation.

 

 Les organisateurs annoncent plus de 200.000 manifestants à Paris - 70.000 selon les calculs de la préfecture de police - et en revendiquent plus de 500.000 dans toute la France où une petite dizaine de rassemblements étaient organisés dans d'autres grandes villes.

 

Plusieurs dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées samedi, en début d'après-midi, place Denfert-Rochereau, ballons bleu, blanc rose à la main, pour protester contre le projet de loi du gouvernement.

 

 Afin d'éviter toute dérive, la plupart des pancartes du défilé ont été réalisées par les principaux organisateurs de la manifestation.

 

 On pouvait y lire des slogans tels que «Tous nés d'un homme et d'une femme» ou «papa + maman, y'a pas mieux pour un enfant».

 

De rose vêtue, la parodiste Frigide Barjot, autoproclamée «catho-déjantée» et co-organisatrice de l'événement, a fait passer un message pacifique avant le départ de la cohorte et un message d'amour aux homosexuels.

 

 Cette «manifestation pour tous», se veut apolitique, «transreligieuse», mais aussi «contre l'homophobie», a-t-elle martelé avant que son goût de la provocation ne reprenne le dessus.

 

 «Nous sommes nés d'un homme et d'un femme, un enfant c'est le résultat d'un orgasme d'un homme et d'une femme», a interpellé la co-fondatrice du groupe Jalons, déplorant une transformation du Code Civil.

 

Aux avants-postes du cortège, une voiture décapotable transportait un couple fictif de jeunes mariés saluant la foule, elle en robe blanche, lui en costume. Un clin d'œil à la tradition défendue par les opposants au texte adopté il y a dix jours en conseil des ministres.

 

En première ligne, politiques et élus, écharpes tricolores en bandoulière, étaient venus afficher leur opposition au texte. Parmi eux, Gérard Larcher, l'ancien président du Sénat à la tête du comité de soutien de François Fillon et Claude Goasguen, présent pour représenter Jean-François Copé à quelques heures du scrutin pour la présidence de l'UMP. [...]

Le communiqué du ministre Najat Vallaud-Belkacem n'est clairement pas à la hauteur de ce qui s'est passé aujourd'hui :

 

"La ministre des Droits des femmes et porte-parole du gouvernement Najat Vallaud-Belkacem a défendu le mariage pour tous samedi, après que des manifestations eurent réuni au moins 100.000 personnes en France, en mettant en garde contre tout «dérapage», «instrumentalisation» et «amalgame». Dans un communiqué à l’AFP, la ministre a souhaité que le débat continue d'être «mené sereinement» [alors qu'il n'y a pas de débat !, NDMJ] sur le projet de loi du «mariage pour tous» ouvrant mariage et adoption aux couples homosexuels, qu’elle considère comme «un progrès pour tous» permettant à ses yeux à la France de retrouver «sa place dans la marche pour les libertés fondamentales et pour l'égalité des droits».

 

Réponse stupide d'une ministre stupide.

 

«Nous n’accepterons aucun dérapage.

 

 Les instrumentalisations et l’agitation des amalgames et des fantasmes ne sont pas à la hauteur de l’enjeu de cette réforme», écrit-elle. [...]"

Le 16/11/2012

La République molle

Paralysie. Le phénomène ne date pas des socialistes.

 

 Mais, depuis six mois, il a pris une telle ampleur qu’aucun secteur n’échappe à la question : qui commande ? Derrière la crise de l’autorité, il y a toujours un déficit de confiance.

 

 

Il y a deux écueils en politique : la tentation de penser que “tout était mieux avant” (le laudator temporis acti que la sagesse antique condamnait déjà parce qu’il nourrissait le pessimisme et le refus d’entreprendre)… et la certitude que, pour construire l’avenir, rien ne doit être conservé du passé.

 

Avec François Hollande et Jean-Marc Ayrault, nul besoin de chercher longtemps quelle logique prévaut : la promotion du mariage homosexuel est là pour montrer dans quel respect l’actuelle classe dirigeante de gauche tient l’idée même d’une norme sociale…......

..........Qui voudrait, ou pourrait siffler la fin de la récréation ?

 

Depuis l’arrivée de la gauche au pouvoir, le gouvernement fait bien pire que de se déchirer, comme sous la IVe République où, face à l’instabilité du régime, campait encore une administration solide : il tire dans tous les sens !

 

Sous Mitterrand, on avait vécu le conflit entre Delors et Chevènement à propos du franc fort et de la construction européenne, sous Chirac, la guerre larvée Juppé-Seguin, qui en était le prolongement, et sous Sarkozy, de nombreux changements de pied, par exemple sur le Grenelle de l’environnement, qui avait mis aux prises deux ministres en exercice, Jean-Louis Borloo et Nathalie Kosciusko-Morizet.

 

 Mais chaque fois, l’Élysée ou Matignon avait arbitré, ne laissant jamais le débat déraper vers l’anarchie…

 

Tout se passe, cette fois, comme si personne ne voulait ou, pire, ne pouvait siffler la fin de la récréation.

 

Avec Jean-Marc Ayrault, un degré inédit est atteint. Incapable de recadrer ses ministres, il se recadre lui-même : sur le retour aux 39 heures, estimé digne de « débat » avant que le maintien des 35 heures soit jugé « intangible » ; mais aussi sur la hausse de la TVA, considérée inacceptable quand Sarkozy la proposait, et finalement praticable, pour contribuer à améliorer la compétitivité…

 

Chaque jour apportant son lot de contradictions, comment s’étonner que la confiance s’évapore ? Incapable d’incarner une ligne autrement que par la déconstruction de ce qui tenait encore debout (la structure familiale, par exemple), le gouvernement ne peut aboutir qu’à décourager ses partisans et à encourager ses adversaires.

 

Nul doute qu’il faille davantage qu’une conférence de presse pour enrayer la tendance…

Le 16/11/2012

Une bourde de plus!..

Z'Ayrault aussi doué en Allemand que normal 1er en Anglais! Les deux font la paire...

POLITIQUE - Rappelons-le, il était professeur d'Allemand...

 

Alors qu'il s'exprimait dans la langue de Goethe, le Premier ministre français Jean-Marc Ayrault a commis hier après-midi un lapsus qui aurait pû avoir des conséquences diplomatiques, en qualifiant le dialogue franco-allemand d'"effroyable" au lieu de "fructueux", selon l'agence Sipa citée par Le Figaro

 

C'est qu'en Allemand les mots sont phonétiquement très proches."fruchtbar" signifie "fructueux" et "furchtbar" effroyable, le "u" et le "r" étant simplement inversés.

 

 Le Premier ministre qui voulait parler d'un "fruchtbaren Austausch" (dialogue fructueux) a dit qu'il souhaitait un "furchtbaren Austausch" (dialogue effroyable).

 

"Ce lapsus est d'autant plus ironique que la visite de deux jours du premier ministre à Berlin est destinée à réchauffer des relations franco-allemandes un peu refroidies depuis l'arrivée au pouvoir à Paris du socialiste François Hollande", note l'agence Sipa.

Le 13/11/2012

Quand le petit toréador d'opérette pète les plombs!..

Piqué sur ses ergots comme un petit coq de combat, le mini ministre de l'intérieur perd le contrôle, ça m'a rappelé la crise d'hystérie de sa consoeur de la culture!...

 

ICI

 

Le 01/11/2012

Ecrasement programmé du flamby.

SONDAGE - La cote de confiance du chef de l'État chute à 36%, selon le baromètre politique TNS Sofres-Sopra Group-Figaro Magazine de novembre.

 

Jamais, depuis 1981, un président de la République n'était tombé aussi bas en popularité, six mois après son élection, que François Hollande.

 

 Avec 36% de cote de confiance en novembre, le chef de l'État est le premier, depuis François Mitterrand, à être aussi impopulaire en si peu de temps.

 

Seul le Chirac de 1995 (37 %) était au même niveau.

 

 

Mitterrand I et II restaient aux alentours de 63 %, Sarkozy se maintenait à 53% et Chirac, en 2002, réussissait l'exploit de remonter jusqu'à 49 %.

 

 La situation de Jean-Marc Ayrault n'est pas meilleure puisque, six mois après son arrivée à Matignon, avec une cote de confiance de 34%, il se retrouve juste au-dessus d'Alain Juppé (1995) et d'Édith Cresson (1992).

 

Deux premiers ministres dont le bail a été écourté brutalement par le président.

 

 Au bout de onze mois par Mitterrand, pour remplacer Cresson par Bérégovoy.

 

 En mars 1997, une dissolution ratée conduit Jospin à remplacer Juppé.

 

C'est dire si la pression est énorme sur les épaules des deux hommes, six mois après la victoire de Hollande à la présidentielle.

 

 La séquence qui s'ouvre est déjà une séquence décisive pour le couple exécutif, avec la remise du rapport Gallois sur la compétitivité le 5 novembre, suivie des décisions du gouvernement à cet égard le lendemain, et la première conférence de presse du président de la République mi-novembre, qui devra montrer qu'il n'est pas l'homme décrit par ses détracteurs.

 

 Le congrès de Toulouse du PS, le week-end dernier, a certes permis à Jean-Marc Ayrault de ressouder les rangs socialistes autour de lui.

 

 Mais il a aussi montré que deux rivaux se tenaient prêts: Manuel Valls et Martine Aubry.

Il est a noter que si ce cas de figure s'était présenté sous la précédente présidence, on n'aurait pas manqué d'assister aux concerts de lamentations avec des mines de vierges effarouchées, des Ayrault, Hamon, Fabius, Valls et consorts qui auraient appelés a la démission au nom de la légitimité!...

Le 30/10/2012

Le dernier pas de deux d'un premier ministre éjectable.

Pathétique, c'est le mot qui me vient en premier lorsque je vois le premier ministre se prendre encore une fois les pieds dans le tapis .

 

Lundi il annonce qu'il ne verrait pas d'un mauvais oeil le retour des 39 heures et Mardi après avoir sans doute essuyé une sévère mise en garde de la grosse Martine de Lille, il proclame la main sur le coeur qu'il n'a jamais été question de cela ..

 

Par malchance il y a des traces télévisuelles de cet égarement, qu'importe comme pour les précédentes déclarations controversées on les fera disparaitre...

 

Lamentable, Zayrault est habillé comme un ministre, peigné comme un plouc, mais comme le Canada dry, ce n'est qu'un ersatz de ministre en poste pour une durée indéterminée..

 

Transparent, incolore et surtout incapable .

Le 25/10/2012

De A comme Ayrault à Z comme zéro

Contrairement à ce qu’écrit Alain Duhamel ce jeudi, dans Libération, le premier ministre socialiste n’a jamais été à la mode dans l’opinion publique, salué pour ses qualités de gestionnaire et sa complémentarité avec le président de la République. Même dans les médias réputés à gauche, je n’ai jamais vu que scepticisme et attentisme poli depuis son arrivée à Matignon.

 

Cinq mois plus tard, les commentateurs n’ont pas tourné casaque. Ils constatent simplement, faits et gestes du premier ministre à l’appui, que leur pressentiment était juste. Ayrault n’est pas au niveau. Il manque de tout : de A comme autorité à Z comme zeste d’humour.

 

Sans doute sert-il de bouc émissaire pour le compte de tout un gouvernement formé d’amateurs. Il est lui-même apprenti, n’ayant jamais occupé ne serait-ce qu’un secrétariat d’Etat.

Surtout, il pâtit d’être la copie de François Hollande. Deux mêmes tempéraments, aussi fades, au sommet de l’Etat, cela ne correspond pas aux exigences, au standing d’une République monarchique comme la France. Si le Président de la République avait du caractère, passe encore, il pourrait se cacher derrière ! Hollande a donc fait une grosse erreur en choisissant Ayrault. D’ailleurs, les médias se défoulent sur Ayrault, mais c’est en réalité Hollande qu’ils visent.

 

Les cinq mois que nous venons de vivre montrent aussi les limites d’une méthode que ses auteurs voulaient exemplaire du modèle social-démocrate (négociation – recherche d’un consensus - décision). Mais faute d’être maîtrisée, la méthode donne, de couacs en bévues, des résultats catastrophiques. Il n’a pas fallu longtemps pour deviner qu’elle révèle moins un savoir-faire que beaucoup d’indécision, d’incompétence et d’impréparation.

Le 24/10/2012

Pour le président de Mitsubishi France, Montebourg «est bête et ne comprend rien»

Par le 24 oct, 2012 @ 12:47

Mardi soir au Beach Hotel du cap d’Antibes, Jean-Claude Debard, le Président de Mitsubishi France, a expliqué, à propos d’Arnaud Montebourg, « [ne pas comprendre] ce ministre qui ne connaît pas ses dossiers de l’automobile qui représente 25% des revenus de la France et 10% de l’emploi dans notre pays, car il n’y a pas seulement les constructeurs, mais aussi ceux qui travaillent par ou pour l’automobile directement ou indirectement ».

 

« Cet abruti mental, ce débile, augmente les malus écologiques, réduit la vitesse des conducteurs sur le périphérique de Paris et pourrit la vie des automobilistes, de toutes les origines sociales…

 

 Tous le subissent ! », a-t-il continué, avant de porter le coup de grâce : « Il est bête et ne comprend rien.

 

(à destination du journaliste de La Provence présent, qui rapporte les propos) Vous pouvez me citer sans vous inquiéter…

 

Grâce à mes précédentes déclarations sur les chaînes de télévision nationales, j’ai déjà un contrôle fiscal ! »

Le 15/10/2012

La chute vertigineuse continue!.

sondage

le baromètre politique
 

BVA ORANGE L'EXPRESS FRANCE INTER

 

Baromètre du 15/10/2012 à 18:00

 

 

L'exécutif baisse encore



 L'exécutif baisse encore, son action n'étant jugée ni efficace ni juste


Avec 44% de bonnes opinions contre 55% de mauvaises, Hollande a atteint en moins de six mois des profondeurs que son prédécesseur avait mis près d'un an (février 2008) à atteindre. Ayrault n'a pour le moment pas gagné à s'être fait mieux connaître et devient lui aussi impopulaire ce mois-ci avec 46% de bonnes opinions contre 52% de mauvaises.


C'est que l'exécutif est non seulement jugé « pas efficace » (69%; +2 points des réponses négatives), mais aussi « pas juste » (56%; +3 points des réponses négatives) alors que la « justice » constituait justement l'une des rares promesses du candidat Hollande.


Comme le mois dernier, le souci provient du monde de l'entreprise privée alors que les salariés du secteur public conservent leur confiance au Président (58%). Un très fort mécontentement à son égard s'observe désormais non seulement auprès des professions libérales et des chefs d'entreprises (75%) mais aussi des cadres (56%) et des ouvriers. Ces derniers sont ainsi 57% à avoir une mauvaise opinion du chef de l'Etat, 74% à juger que son action n'est pas efficace et 58% à ne pas la trouver « juste ».


Le niveau d'impopularité de l'exécutif est tel que les Français sont désormais plus nombreux à penser que l'UMP ferait mieux (36%) plutôt que « moins bien » (27%) que ce gouvernement. Même les sympathisants de gauche ne sont que 59% à penser que l'UMP ferait moins bien. Un tel désaveu constitue une véritable « performance » pour la gauche au pouvoir quand on se remémore le niveau de rejet de l'ex-parti présidentiel il y a encore six mois et quand on sait que le parti est sans réel leader jusqu'au mois prochain.

Le 09/10/2012

HOLLANDE T'ES FOUTU, LES COCUS SONT DANS LA RUE!..

Le 27/08/2012

La gesticulation des guignols

Je me marre, l'équipe de pieds nickelés qui nous gouverne est en train de nous faire la démonstration de son incapacité a prendre des décisions .

 

Un pas en avant, deux pas en arrière.

 

Cahusac annonce qu'il serait posible de remettre de la pub sur la télé du service public après 20h et le lendemain l'hystérique ministre de la culture lui intime l'ordre de s'occuper de son ministère pas du sien!

 

Aussitôt JMA tempère et dit que ce ne sont que des pistes de réflexion.

 

Le nombre de pistes de réflexion qu'ouvre ce gouvernement est affolant.

 

 

Montebourg, le brasseur de vent Bressan découvre que seul le nucléaire peut nous fournir assez d'énergie pour notre consommation et cela au meilleurs prix.

 

Cris d'orfraie de Duflot, la ministre au regard aussi expressif que celui d'une vache regardant passer un train.

 

Valls, le matamore d'opérette du haut de son mètre soixante ordonne le démantèlement des camps de Roms a tour de bras alors que l'année dernière il qualifiait de nazi son prédecesseur qui faisait la même chose ..

 

Normal 1er annonce une baisse des taxes sur le carburant et stupeur s'aperçoit du manque a gagner que cela va entrainer???

 

Ou vont s'arrêter les gesticulations de ce ramassis d'incapables dont aucun n'a travaillé dans sa vie ailleurs que dans la fonction publique payés grassement ( souvent a ne rien foutre) entre autre par les impôts de ceux qui se lèvent le matin pour pointer a l'usine .

 

Le résultat des derniers sondages ne sont que le début de la descente qui s'annonce vertigineuse!...

 

Et ce sont les cocus qui l'ont élus qui vont le foutre dehors lui et son équipe de bras cassés, a grands coups de bottes dans le cul.

 

Le plus tôt sera le mieux!...

 

 

Le 27/08/2012

Sondage: la popularité de Hollande a chuté de 11 points en un mois

Le Parisien.fr publié le 27.08.2012. 18h00

Pour la première fois, la cote de popularité de est passée sous les 50%. En un mois, elle est passée de 55% à 44%, soit 11 points de moins, selon le baromètre mensuel Ipsos* réalisé pour «Le Point».

 

 

 

Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a perdu, lui, 9 points.

Le François Hollande, dont la cote avait augmenté de deux points entre juin et juillet, bénéficie de 38% de jugements «plutôt favorables» (-8) et de 6% de «très favorables» (-3). Il recueille désormais davantage d'avis défavorables (47%, +10, dont 27% «plutôt défavorables» et 20% «très défavorables») que d'opinions favorables. 9% (+1) ne se prononcent pas. A la même époque de son quinquennat, en 2007, disposait d'une cote de popularité de 61%.

Le Premier ministre bénéficie lui de 40% de jugements «plutôt favorables» (-8) et de 6% de jugements «très favorables» (-1). Le camp des mécontents gagne 9 points, à 40% (jugement «très défavorable» pour 13%, «plutôt défavorable" pour 27%). 14% (=) sont sans opinion.

Le 19/08/2012

Roms: la mairie de Lille associée au démantellement

Crédits photo : PHILIPPE HUGUEN/AFP

 

Source: Figaro

 

 


Par Philippe Goulliaud Mis à jour le 19/08/2012 à 22:21 | publié le 19/08/2012

 

 

Deux campements de Roms établis sur des terrains appartenant à l'État et à la communauté urbaine de Lille ont été évacués le 9 août, à Hellemmes et Villeneuve-d'Ascq, dans l'agglomération lilloise.

 

 

 

  EXCLUSIF - Des collaborateurs de Martine Aubry ont participé, le 3 août, à une réunion préparatoire à l'évacuation de camps de Roms, le 9 août, dans l'agglomération lilloise.


Deux conseillers techniques au cabinet de la maire de Lille et quatre représentants de Lille-Métropole, la communauté urbaine que préside Martine Aubry, étaient présents le 3 août, lors d'une réunion préparatoire au démantèlement de deux campements de Roms dans la métropole lilloise, selon des éléments que Le Figaro s'est procurés.

 

Le préfet délégué pour la défense et la sécurité, le directeur de cabinet du préfet et la première adjointe au maire de Villeneuve-d'Ascq participaient notamment à cette réunion du 3 août au cours de laquelle ont été présentées les procédures d'offre de retour volontaire mises en œuvre par l'Ofii, l'Office français de l'immigration et de l'intégration.

 

Le Parisien-Aujourd'hui en France faisait état, dans son édition de samedi, d'une colère de la première secrétaire du PS contre le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, en apprenant «par la presse» les démantèlements. Selon le quotidien, «le préfet avait oublié de l'en avertir, en tout cas personnellement».

 

«En contact permanent avec le cabinet de Martine Aubry»

 

Mais, samedi, lors d'un déplacement à Pignans (Var), Manuel Valls a affirmé que tout allait «très bien» entre lui-même et la première secrétaire du Parti socialiste, Martine Aubry, démentant l'existence d'une polémique après le démantèlement de ces camps de Roms.

 

«Nous avons, avec les élus de la communauté urbaine de Lille, avec le maire de Villeneuve-d'Ascq, fait évacuer deux campements illicites», a-t-il expliqué, ajoutant que «la préfecture a été en contact permanent avec le cabinet de Martine Aubry et avec le premier vice-président, puisqu'elle était en vacances».

 

De son côté, l'entourage de la maire de Lille a annoncé samedi que Martine Aubry s'exprimerait dans la semaine sur ce sujet.

 

Deux campements de Roms établis sur des terrains appartenant à l'État et à la communauté urbaine de Lille avaient été évacués le 9 août à Hellemmes et Villeneuve-d'Ascq, dans l'agglomération lilloise, au lendemain d'un message de «fermeté» délivré par le ministère de l'Intérieur.

Le 18/08/2012

Situation des Roms : Martine Aubry va sortir du silence

Le Parisien affirme que la maire de Lille n'était pas informée du démantèlement d'un campement illicite, le 9 août dernier, dans la métropole. La patronne du PS doit s'exprimer sur le sujet la semaine prochaine.

 

Martine Aubry voit rouge. Selon Le Parisien , la présidente de la communauté urbaine de Lille n'a pas apprécié d'avoir appris par la presse le démantèlement d'un camps de Roms à Villeneuve-d'Ascq, le 9 août dernier. Selon le quotidien, la première secrétaire du PS n'a pas été personnellement prévenue par le préfet Dominique Bur et serait «en colère» contre Manuel Valls.

 

 «Je suis d'autant plus désagréablement surprise de la manière dont ça s'est passé cette fois», a lancé la patronne du PS, selon des propos rapportés par le journal. «Il y a de la place en France pour accueillir dignement ceux qui sont là».

 

Au cours de l'été 2010, la maire de Lille était très en pointe dans le combat contre les démantèlements de camps ordonnés par le ministère de l'Intérieur de l'époque. La métropole lilloise qu'elle préside avait notamment voté un moratoire contre les expulsions, dans l'attente de solutions de relogement.

 

 Depuis, le nombre de Roms a triplé dans l'agglomération, passant d'un millier à près de 3000. Selon Martine Aubry, citée par Le Parisien, la Ville a été «absolument exemplaire» par les efforts qu'elle a accomplis pour accueillir les gens du voyage.

 

«Tout va très bien entre Martine Aubry et moi»

 

Apprenant le démantèlement du camp de Villeneuve-d'Ascq, la patronne du PS aurait décidé d'interrompre ses vacances et de regagner sa mairie.

 

 Elle convoquera la presse dans le courant de la semaine prochaine, à Lille, pour donner sa position sur le sujet.

 

 Et ce alors que Jean-Marc Ayrault organise mercredi une table ronde rassemblant ministres et associations, afin d'étudier des solutions.

 

 L'occasion pour Matignon de reprendre la main, alors que des voix dissonantes se font entendre sur le sujet des Roms. Un député proche de Marine Aubry, Pouria Amirshahi, a ainsi assuré que ce dossier ne saurait être traité «sous le seul angle de la répression policière».

 

 Cécile Duflot, ministre écologiste de l'Egalité des territoires et du Logement, a estimé pour sa part dans Libération que «démanteler ces camps sans solutions, c'est mettre les gens dans une précarité encore plus grande».

 

Selon Le Parisien, Martine Aubry n'ouvrira pas de nouveau front contre le ministre de l'Intérieur. Le quotidien précise qu'elle estime d'ailleurs que la politique menée par le gouvernement n'a «rien à voir» avec celle de Nicolas Sarkozy.

 

«Tout va très bien entre Martine Aubry et moi», a juré de son côté Manuel Valls, en marge de son déplacement samedi dans le Var.

 

 «Nous avons, avec les élus de la communauté urbaine de Lille, avec le maire de Villeneuve d'Ascq, fait évacuer deux campements illicites», a-t-il expliqué, ajoutant que «la préfecture a été en contact permanent avec le cabinet de Martine Aubry et avec le premier vice-président, puisqu'elle était en vacances».

 

Les deux socialistes, qui incarnent des positionnements idéologiques diamétralement opposés au sein du PS, ont souvent eu des relations tendues. Accusant Martine Aubry de fraude lors du congrès de Reims, en 2008, Manuel Valls s'était attiré les foudres de la première secrétaire.

 

 Laquelle n'avait pas hésité à publier une lettre ouverte, à l'été 2009, dans laquelle elle lui proposait de quitter le parti.

Le chemin de gauche ne mène pas aux Roms

 

 

L’expulsion des Roms par notre gouvernement normal, au cœur de ces vacances normales révèle s’il en était besoin la lâcheté congénitale du parti socialiste et de toute la clique des moralisateurs des beaux quartiers qui gravitent autours de la rue de Solférino.

 

L’application des décisions de justice en la matière est une bonne nouvelle pour la crédibilité de nos institutions et un message fort envoyé aux candidats à l’immigration illégale.

 

 Une fois n’est pas coutume, je ne peux que saluer le courage de Manuel Valls sur ce sujet.

 

Ce qui est plutôt cocasse, c’est le silence étonnant des artistes forcément bien-pensants -donc de gauche- qui nous avaient habitués à mieux.

 

 Je comprends qu’il soit compliqué d’organiser un évènement de contestation ou une conférence de presse quand on est à Saint Tropez ou à Saint Barth. Je sais que nos artistes préférés ne peuvent pas tout faire, que les Noah, Balasko, Cali, Dahan, Debbouze et tous les autres passent des vacances bien méritées après la campagne qu’ils ont mené pendant 5 ans contre la droite et depuis 9 mois pour faire gagner leur champion.

 

 Mais quand même, ces Roms valent bien un petit tweet moralisateur non ? un petit communiqué de rien du tout pour nous expliquer l’inhumanité du traitement qui est réservé à ces gens, une petite phrase d’indignation à la Stephane Hessel pour nous dire combien cette tragédie humaine est inconcevable au XXIe siècle, et que ce gouvernement fait honte à la France en employant des méthodes qui nous replongent dans les heures les plus sombre de notre histoire et qu’il nous faut nous mobiliser pour que la France retrouve sa dignité et évite de succomber à la tentation fasciste qui broie les hommes et que pour cela il faut une mobilisation des gens de gauche etc etc…

 

Bref, je m’attendais naïvement au même concert de leçons de morale dégoulinantes de bons sentiments et de fausse charité qu’en 2010 ou pendant l’épisode des tests ADN mais rien, pas une ligne à part l’indignation légitime des associations sur le terrain que je ne partage pas mais que je comprends.

 

Ce flagrant délit de lâcheté en dit long sur la presse française aussi. Libération, le lendemain de l’expulsion n’a pas fait sa Une sur les Roms.

 

 J’aurais pourtant bien vu une de ces Unes bien racoleuses dont ce journal nous a abreuvé pendant 5 ans ; une Une bien démago, avec un enfant roumain qui pleure dans les bras de sa mère encerclée par des CRS avec le mot HONTE sur toute la largeur de la page.

 

 Je m’attendais à ce que Marianne titre : « Valls est il compatible avec la République » ou que l’humanité accole la photo de Valls à celle de Pétain.

 

 Rien ! Très peu de médias pour souligner l’incohérence entre les discours pseudo-humanistes de 2010 et le silence assourdissant de 2012, aucun pour rappeler le concert d’insultes dont Nicolas Sarkozy avait été gratifié à l’époque.

 

C’est cocasse mais c’est révoltant parce que cela veut dire que ces gens qui font la leçon à la France qui doit supporter cette immigration illégale ajustent leurs indignations en fonction des auteurs et non des actes. Il en est de même des ministres en fonction.

 

 Duflot et Peillon par exemple avaient affirmé en 2010 qu’ils avaient honte pour la France qui expulsait le Roms. Alors qu’ils démissionnent s’il leur reste encore un peu de dignité au fon

 

d de leur esprit embrumé par l’idéologie, les calculs politiciens et leur obsession de pouvoir conserver leur petit pouvoir et leur voiture de fonction.

 

C’est que les Roms, sous un gouvernement de gauche, on ne les expulse pas, on les raccompagne.

 

 Sarko organisait des rafles, Valls démantèle des camps. Sarko se couvrait d’indignité, Valls agit avec fermeté…

 

L’hypocrisie de cette gauche est un gouffre sans fond dans lequel visiblement ils ont décidé de se jeter tous ensemble, politiques, journalistes et artistes engagés.

 

Mais je ne suis pas mauvaise langue: quand ils reviendront de leurs vacances dorées, les bobos indignés trouverons sans doute une autre cause à défendre pour vendre leurs disques, leurs films ou leurs spectacles.

 

« Faut vous dire, Monsieur
Que chez ces gens-là
On n´vit pas, Monsieur
On n´vit pas, on triche » Jacques Brel

Le 14/08/2012

Délocalisations : Hollande
se démarque de Montebourg

 

 
 
Le président du conseil régional d'Ile-de-France, Jean-Paul Huchon
Le président du conseil régional d'Ile-de-France, Jean-Paul Huchon Crédits photo : FRED DUFOUR/AFP

Le syndicat des transports d'Ile-de-France a choisi, en vertu du code des marchés publics, un prestataire basé au Maroc pour ses relations clients. Arnaud Montebourg souhaite changer les règles.

 

L'information ne pouvait pas plus mal tomber pour le gouvernement, et notamment pour Arnaud Montebourg. Alors que le ministre du Redressement productif s'est engagé à lutter contre les délocalisations en France, l'Ile-de-France songerait à délocaliser un centre d'appels à un sous-traitant installé au Maroc, selon Le Parisien-Aujourd'hui en France .

 

Cette décision aurait été prise le 11 juillet et Arnaud Montebourg était au courant. Mais face à l'urgence du dossier PSA, il n'aurait pas jugé cette affaire prioritaire.

 

Sur Europe 1, ce vendredi matin, le ministre du Redressement productif a cependant demandé au président du Stif (Syndicat des transports d'Ile-de-France) de revenir sur sa décision.

 

 «J'ai dit à Jean-Paul Huchon qu'il était utile de reconsidérer la décision, en remettant l'appel d'offres sur le métier», a réagi le ministre.

 

 Et d'ajouter: «Nous nous battons pour relocaliser les emplois, ce n'est pas pour qu'on les délocalise.»

 

Interrogé sur la question, le président François Hollande est resté prudent et a apporté son soutien à Jean-Paul Huchon.

 

Affirmant que «les règles ont été respectées», il a cependant enjoint les acteurs publics à «faire preuve de responsabilité» pour faire prévaloir le travail en France.

 

Le président de la région Ile-de-France a fait savoir dans l'après-midi qu'il étudierait «toutes les voies légales pour faire face à cette situation».

 

 Arnaud Montebourg, de son côté, dit réfléchir à une évolution du code des marchés publics.

Le 20/07/2012

D'après l'excellent blog de Robert Ménard.

 

http://www.robertmenard.fr/

 

la République des missions.

 

 

 

 

 

 

Et une de plus. François Hollande vient de charger le professeur Didier Sicard d’une mission sur la fin de vie pour « les cas exceptionnels ». En clair, sur l’euthanasie, même si, hier candidat comme aujourd’hui président en exercice, il s’est toujours bien gardé, toujours prudent, de prononcer le mot. Mais ce n’est pas tant l’objet de cette « mission » qui retient aujourd’hui mon attention que la méthode.

Avez-vous comptabilisé le nombre de missions, de commissions, de tables rondes, de négociations que le chef de l’Etat a lancé en quelques jours ? On s’y perd. Rien qu’à l’issue de la Conférence sociale, on nous a promis une mission sur la compétitivité des entreprises, une concertation sur les retraites, une autre encore sur les rémunérations des fonctionnaires. Sans oublier une négociation sur les modalités du contrat de génération, et une petite dernière sur « la sécurisation de l’emploi ». Et si cela se trouve, j’en oublie. Depuis le 14 juillet, nous savons qu’une commission va plancher sur la moralisation et la rénovation de la vie politique. Tandis que Hubert Védrine, l’ancien ministre socialiste des Affaires étrangères, s’est vu confier une mission sur « la place de la France dans l’Otan »… Pas un jour ou presque sans que les partenaires sociaux, les corps intermédiaires, les personnalités de la société civile ou d’anciens apparatchiks socialistes ne soient appelés à se réunir, à cogiter, à « brainstormer », à nous pondre des rapports, à nous faire des propositions sur tout ou à peu près tout.

Au point qu’on est en droit de s’interroger. Volonté de dialogue ou habile façon de repousser les décisions ? Goût du compromis ou absence de leadership ? Naissance d’une social-démocratie à la française ou vieux travers de congrès socialiste ? J’ai du mal à deviner, derrière l’ancien secrétaire national du PS, celui qui va révolutionner les rapports sociaux dans une France shootée à la lutte de classe. Déjà, la côte d’amour du chef de l’Etat s’effrite ; il ne pourra pas bénéficier du doute encore longtemps. Et c’est tant mieux : la situation exige des décisions. Inscrire le « dialogue social » dans la Constitution, c’est un peu comme d’en supprimer le mot. Au mieux, un gadget. Au pire, une façon de nous prendre pour des imbéciles.

PS La république des copains (3). Les Inrockuptibles ne seront « ni une annexe, ni une chambre d’écoute, ni un organe du parti socialiste, du gouvernement ou du chef de l’Etat » a voulu rassurer Audrey Pulvar, propulsée à la tête du magazine branchouille. Elle a raison : pas besoin d’elle, Les Inrocks sont déjà un outil de propagande de l’idéologie soixante-huitarde, pétri de bien-pensance, donneur de leçons, avant-gardiste autoproclamé, porte-voix communautaire… C’est sûr, Audrey Pulvar est un bon choix.

Le 19/07/2012

 

Simple comparaison .

Le 18/07/2012

Ah je me gausse d'imaginer la tête que doivent faire les premiers cocus du règne de sa majesté François les manches trop courtes !...

 

Le Thibault avec sa tronche de Thierry la fronde qui a appelé à voter pour le petit gros tout mou, on ne l'entend plus ???

 

Grollande n'aime pas les riches

 

Grollande n'aime pas les banquiers

 

Mais Grollande n'en a rien à foutre non plus des ouvriers.

 

 Que sait-il de ceux qui vivent avec un smic, qui se lèvent a 4h pour faire les postes ?

 

 Lui qui se vantait d'être payé a ne rien foutre ( Francois Hollande avant )

 

Les heures supplémentaires défiscalisées ne sont pas faîtes pour les grands patrons, non mais pour les petits, les sans grades qui en ont besoin pour améliorer l'ordinaire ..

 

Mais que sait-il de l'ordinaire le roitelet de la gauche bobo ??

 

Sait-il au moins ce que c'est que de se salir les mains pour gagner sa croûte???

 

Je ne crois pas!!

 

 Comme tous ces énarques à l'égo surdimentionné, gonflés comme des baudruches a la formule toute faite.

 

Il n'y a qu'a.

 

Il faut que.

 

Moi je .

 

Cocus sont tous ceux qui ont votés pour ce mirage, ce miroir aux alouettes.

 

Alouette je te plumerai..

 

Et ils vont nous plumer sévère lui et sa bande de menteurs repris de justice.

 

Les heures supplémentaires seront fiscalisées à partir du???

 

Avec un effet rétroactif au premier janvier..

 

Mais encore une fois, Tartuffe propose, attend!...

 

 Et si ça gueule un peu fort, vite on recule (comment veux tu, comment veux tu??? Mais si il va y arriver soyez en sûr )..

 

L'été ne sera peut-être pas chaud, mais la rentrée par contre risque bien d'être houleuse pour le capitaine de pédalo et son équipage de bras cassés..

 

Mais on oublie pas les copains coquins, comme dit le fils ainé "en politique on est jamais mort" ..

 

Et Jospin qu'on croyait disparu à jamais entre l'île de Ré et le continent est de retour ..

 

Au secours, Jospin revient avec l'air jovial du croque-mort venant prendre les dernières mesures avant la mise en bière...

Le 13/07/2012

PSA : la CGT critique Montebourg

AFP

 

 

 

 

La CGT de l'usine PSA d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) a vivement critiqué aujourd'hui le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg qui, dans une lettre, a interrogé la direction du groupe sur ses "intentions", alors que son projet de fermer le site est notoire, selon le syndicat. "Toute la France sait qu'ils veulent fermer Aulnay et qu'ils vont l'annoncer dans les prochains jours, à la seule différence qu'ils ne vont pas annoncer la fermeture mais la reconversion du site", a affirmé à l'AFP Jean-Pierre Mercier, délégué CGT à Aulnay, ajoutant qu'il ne croyait pas à une reconversion des salariés.

"Que la seule personne qui n'ait pas compris ça soit le ministre du Redressement productif, ça en devient choquant", a-t-il ajouté. "Quel jeu il joue ? Il a rencontré (le Pdg Philippe) Varin la semaine dernière, Varin ne lui a rien dit, ça veut dire qu'il s'est fait rouler dans la farine", a estimé M. Mercier.

Dans une lettre adressée à Philippe Varin, le ministre demande que "la direction fasse connaître ses intentions au plus vite et de façon précise". M. Montebourg demande aussi d'"engager sans délai le dialogue social" et annonce la nomination d'un expert gouvernemental pour mieux comprendre la situation réelle de l'entreprise. Pour le délégué CGT, ce que devrait dire M. Montebourg au PDG c'est "arrêtez, suspendez la fermeture de l'usine d'Aulnay".

La CGT réclame que le site d'Aulnay, qui emploie 3.300 salariés, sans compter les sous-traitants, achève la production de la C3 Citroën (450.000 véhicules jusqu'en 2016) et qu'on lui attribue ensuite un nouveau véhicule.

Automobile : usines fermées et baisses de salaires

 

 
  Mis à jour le 13/07/2012 à 11:32 | publié le 12/07/2012 à 18:56

 

 

 

 

Aux États-Unis, en Allemagne ou en Italie, la méthode est la même.

 

L'Allemagne a été le premier pays d'Europe à restructurer son secteur automobile, suivie par les États-Unis en 2008.

 

 Avant la France, c'est l'Italie qui a fermé une usine historique de Fiat en Sicile fin 2011.

 

 À chaque fois la méthode est la même: fermetures d'usines, avec ou sans aide de l'État, licenciements massifs et baisses de salaires.

 

• États-Unis: nationalisations et lourdes restructurations pour sauver Chrysler et GM.

 

L'assèchement du crédit et l'effondrement de la demande au cours de l'automne 2008 ont précipité l'industrie automobile américaine au bord de la liquidation.

 

 Sous l'impulsion de George W. Bush, puis de Barack Obama, l'État fédéral est intervenu massivement pour sauver une filière qui représentait alors près d'un million d'emplois directs.

 

 L'État américain, associé à l'État fédéral canadien et à la province de l'Ontario, a investi 85 milliards de dollars, dont l'essentiel en actions, pour permettre à General Motors (GM) et à Chrysler de se restructurer radicalement.

 

 La loi américaine sur les faillites leur a permis d'imposer à leurs employés d'énormes sacrifices.

 

 GM a fermé 14 usines, abandonné des centaines de concessionnaires, éliminé ses marques Pontiac et Saturn, vendu Humer et Saab, supprimé plus de 20.000 emplois.

 

 Le syndicat unique des ouvriers de l'automobile a accepté des réductions de prestations sociales et l'instauration d'une échelle de salaires.

 

 Les nouvelles embauches se font sur la base d'un salaire deux fois moins élevé.

 

 L'avantage de coût - de l'ordre de 30 % - des constructeurs étrangers implantés aux États-Unis dont la main-d'œuvre n'est pas syndiquée, a été ainsi largement éliminé.

 

 Chrysler a fait de même en passant, après dépôt de bilan, sous le contrôle de Fiat.

 

En dépit d'un retour rapide aux bénéfices, ces constructeurs n'ont pas encore totalement surmonté la crise.

 

 L'État fédéral détient toujours 30 % du capital de GM et ne peut vendre ses parts sans essuyer de lourdes pertes. Ford, grâce à une meilleure trésorerie et à une meilleure compétitivité, n'a pas demandé d'aides publiques.

 

 Le numéro deux de Detroit a pu obtenir de concessions syndicales comparables à celles de ces rivaux. En dépit d'un net rebond de la demande, de l'ouverture de nouvelles usines par des constructeurs étrangers, l'industrie automobile a perdu environ 200.000 emplois nets depuis l'été 2008.

 

• Allemagne: licenciements massifs, délocalisations et baisses de salaires.

 

Entre 1990 et 2003, l'industrie automobile allemande a perdu 10 % de ses effectifs outre-Rhin, passant de 850.000 à 775.000 employés.

 

 Avant de renouer avec le succès quelques années plus tard, Volkswagen a subi en 2003 un effondrement de 50 % de ses bénéfices, entraînant une vaste restructuration du groupe.

 

Pour améliorer sa productivité, Volkswagen a taillé dans ses effectifs. En 2006, une vague de licenciements a vu la suppression de 5 % de la masse salariale chez VW. Le constructeur a supprimé 20.000 emplois, dont 7800 sur ses sites de production allemands, et envoyé près de 13.000 salariés en préretraite.

 

La marque a aussi introduit plus de flexibilité dans l'organisation du temps de travail. Un accord avec les syndicats a entraîné la suppression de la semaine de 28,8 heures et le retour des 35 heures, sans compensation salariale. En échange, le groupe Volkswagen avait consenti des garanties sur l'emploi.

 

Grâce à une stratégie misant sur le haut de gamme, qui permet d'absorber des coûts de production plus importants, Volkswagen conserve une activité de production importante outre-Rhin. Le groupe employait 181.000 salariés en Allemagne en 2010.

 

 En 2011, les usines allemandes de VW comptaient 220.000 salariés, avec l'intégration de Porsche et de MAN et l'embauche de 11.000 personnes.

 

 Le constructeur veut porter ses effectifs à quelque 500.000 salariés dans le monde fin 2012. VW a délocalisé en Slovaquie et en Espagne la fabrication de ses modèles d'entrée de gamme Up et Polo.

 

• Italie: le chantage Marchionne pour garder des usines en Europe.

 

En décembre 2011, Fiat a fermé son usine à Termini Imerese, près de Palerme, avec l'arrêt des chaînes de montage de la Lancia Ypsilon.

 

 Après une bataille de plusieurs mois, les 1500 salariés ont été recasés chez DR Motors, un motoriste qui avait repris l'usine, ou encore localement. L'établissement, inauguré en 1970, a construit tour à tour des Panda, la Fiat 126, la grande Punto, puis la Ypsilon.

 

En avril 2010, le constructeur turinois a annoncé un plan d'investissements portant sur 5 milliards d'euros en se promettant de porter sa production italienne de 800.000 à 1,65 million de véhicules par an. C'était «Fabbrica Italia», projet ambitieux pris à contre-pied par la récession du marché européen.

 

 Les coûts de fabrication en Sicile sont devenus insupportables pour Fiat.

Avec l'aggravation de la crise, le discours de Sergio Marchionne est devenu menaçant.

 

 «Si les capacités actuelles d'absorption du marché européen ne s'améliorent pas d'ici à vingt-quatre à trente-six mois, nous devrons fermer une des cinq usines italiennes», déclarait-il le 4 juillet dernier.

 

 Le problème disparaîtrait «si nous parvenions à transférer l'excédent de production sur le marché américain», ajoutait-il. Sans citer aucun établissement, mais la grande usine Mirafiori de Turin paraît la plus menacée.

Mais évidemment le gouvernement de branquignols a une explication toute trouvée: C'est la faute a sarko et c'est ce que c'est empressée de clamer la nunuche de Belkacem qui depuis qu'elle c'était faite rembarrée par le premier sinistre au sujet de la "supression de la prostitution"avait arrêté de dire des conneries, mais hélas la guérison n'était en fait qu'une rémission.

05/07/2012

Un pas en avant, deux pas en arrière.

 

Depuis qu'il est en place ce gouvernement de pieds nickelés nous joue la valse-hésitation.

 

Tu veux ou tu veux pas??

 

Le lendemain de sa nomination le schtroumf professeur Peillon annonce triomphalement le retour de la semaine de 5 jours.

 

Le lendemain Ayrault le contredit et stoppe toutes initiatives hasardeuses..

 

En même temps l'égérie des verts fumeuse de chichons annonce la légalisation du canabis..

 

Devant le tollé général suscité, bis répétita pour le premier ministre qui à bien du mal a contenir son troupeau d'apprentis sorciers!...

 

Et puis il y a eu Valls la menace, terreur des petites frappes qui depuis qu'il est ministre de l'intérieur s'habille comme un mac de Barbès, qui a demandé aux policiers de ne plus tutoyer la racaille, de se découvrir en leur demandant poliment leurs papiers et de leur délivrer une sorte de laisser-passer pour qu'ils ne soient plus importunés par d'autres méchants policiers!!!!!

 

Devant l'enthousiasme des syndicats de police la mesure est en suspens.

 

La semaine dernière c'est au tour de l'excitée de la culture de lancer un pavé dans la mare de l'audiovisuel au sujet d'une taxe sur les écrans d'ordinateurs et de téléphones portables, démenti aujourd'hui même..

 

Alors résumons les grandes décisions prisent.

 

Le mariage homosexuel et le droit à l'adoption pour eux ( mesure qui ne pouvait pas attendre et de la plus haute importance pour l'avenir économique de la France, mais c'est vrai qu'il faut bien faire plaisir à une minorité non négligeable des électeurs du péesse!..)

 

Les 30 euros de cotisation annuelle supprimés pour les sans papiers afin d'obtenir l'AME.

 

Suppression d'un peu plus d'un tiers de l'abattement sur les successions ( de 159 000€ elle passe à 100 000 ).

 

Suppression de la défiscalisation des heures supplémentaires ( euuuuuh, il n'a pas dit, porcinet qu'il s'attaquait aux hauts revenus ??).

 

Instauration, soit-disant pour 1 an d'une taxe sur les carburants!...

 

Le gouvernement gouverne mais ça ne me rassure pas du tout.. 

03/07/2012

 
AFP
 
Aide médicale aux étrangers irréguliers: suppression prochaine de la franchise

La franchise médicale de 30 euros imposée en 2011 aux étrangers sans papiers bénéficiaires de l'Aide médicale d'Etat (AME) va être prochainement supprimée, a annoncé lundi la ministre des Affaires sociales, Marisol Touraine.

 

 
 
 
 

"La promesse de François Hollande de supprimer le droit d'entrée à l'AME fera l'objet d'un texte de loi qui sera présenté dans les prochains jours", a déclaré Mme Touraine devant la presse, à l'issue d'une table ronde sur l'exclusion.

Créée en 2000, l'AME permet l'accès aux soins des étrangers en situation irrégulière résidant en France depuis plus de trois mois. Depuis 2011, le dispositif est conditionné par le paiement d'un droit annuel de 30 euros pour les bénéficiaires majeurs.

Ce forfait avait été institué par la précédente majorité parlementaire UMP, qui avait dénoncé l'explosion du nombre de bénéficiaires de l'AME et du coût de cette aide.

Des associations de défense des droits des étrangers avaient alors critiqué des restrictions "dangereuses pour la santé publique, financièrement contre-productives et contraires aux valeurs éthiques et déontologiques qui fondent nos actions de solidarité et de soins".

 

 

En 2011, l'AME a bénéficié à 220.000 personnes pour un coût global de 588 millions d'euros, contre 75 millions d'euros dans le budget 2000.

 

En juin 2011, deux députés, Claude Goasguen (UMP) et Christophe Sirugue (PS), avaient préconisé dans un rapport le maintien de cette aide aux sans-papiers à faibles ressources tout en réclamant une réforme de sa gestion.

 

Selon eux, il n'y a pas eu d'explosion de la consommation, ni "de fraude caractérisée", mais plutôt un fort accroissement du nombre de bénéficiaires (+185% depuis 2000).

 

Outre le paiement des 30 euros, l'AME est soumise à certaines conditions.

 

Ainsi, les soins hospitaliers coûtant plus de 15.000 euros doivent faire l'objet d'une procédure d'agrément préalable, à l'exception de soins hospitaliers urgents.

 

Par ailleurs, sont exclus de l'AME "les cures thermales" ou encore les médicaments, "les actes techniques et les examens de biologie médicale spécifiques à l'assistance médicale à la procréation".

02/07/2012

 

Popularité: Hollande perd 7 points en un mois et Ayrault 2 dans le baromètre Viavoice

 

 

 

François Hollande perd 7 points d'opinions positives en un mois et Jean-Marc-Ayrault 2, dans le baromètre Viavoice pour Libération à paraître ce lundi.

 

 

 

 montrant aussi une large satisfaction pour leur action et une première place pour Manuel Valls dans le classement des ministres.

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Avec 55% d'opinions très (14) ou assez (41) positives, le chef de l'Etat retrouve le niveau qui était le sien juste après l'élection, après un bond de sept points à 62% fin mai. 37% ont un point de vue négatif sur lui (+6) et 8% (-1) ne se prononcent pas.

 

Crédité de 57% d'opinions positives il y a un mois, le Premier ministre, en perdant deux points, fait jeu égal avec le président.

 

Cette érosion n'empêche pas que la promesse d'une "présidence normale" faite par M. Hollande soit plébiscitée par 67% des personnes interrogées (29% d'un avis contraire). 53% pensent qu'il respectera cet engagement, 42% ne le croient pas.

 

Les premières annonces de l'exécutif sont approuvées à 63%, 33% se disant insatisfaits (4% ne se prononcent pas).

 

C'est la réduction de la rémunération du président et des ministres qui recueille la plus forte satisfaction (84%), devant le rétablissement de la retraite à 60 ans pour ceux qui ont travaillé tôt (82%).

L'augmentation du Smic fait 64% de satisfaits.  

  

  • La popularité d'Hollande et Ayrault baisse mais reste forte

Une forte majorité (74%) fait confiance à MM. Hollande et Ayrault pour augmenter le nombre d'enseignants, réduire les inégalités sociales (64%), conduire la réforme fiscale annoncée (60%).

 

 Taux positif également pour soutenir la croissance économique (58%), améliorer la situation de la zone euro (55) ou augmenter le pouvoir d'achat (50).

 

Le taux passe sous la barre des 50% pour la réduction du chômage (48%) et la réduction du déficit (42%).

 

Dans le classement de popularité des ministres, c'est le titulaire de l'Intérieur Manuel Valls qui arrive nettement premier, avec à 66% de bonnes opinions, devant Michel Sapin (Travail) à 58% et Pierre Moscovici (Economie) à 57%.

 

Sondage Viavoice réalisé les 28 et 29 juin par téléphone auprès de 1.000 personnes représentatives de la population française de 18 ans et plus (méthode des quotas). Les interviewes ont été réalisées pour partie avant l'annonce des résultats du sommet européen et pour partie après.

 

Admirez au passage la façon larvaire qu'a le journaliste pour dire que malgré la chute de 7 points, le petit peuple est toujours aussi enthousiasme .

27/06/2012

 

(source Médiapart)

 

SMIC: reflet d'une contradiction entre l'attente des électeurs et un cadre institutionnel inchangé

 

 

 

 

Michel Sapin, ministre du travail, vient d’ annoncer 2 % d’ augmentation du SMIC dont 0,6% au titre du rattrapage de 6 ans sans coup de pouce, soit 6,58 euros net par mois, 5 centimes par heure

 

Cela  tient plus de l’homéopathie tellement cette hausse relève de l’infinitésimal !

 

«Un coup de pouce de 0,6%, ça représente une baguette de pain par semaine», dit la CGT quand FO dénonce un "premier faux pas".

 

La CFDT se tait. Un signe.

 

Le 25/06/2012

Première dissonance du front de gauche vis a vis des promesses de grollande sur la revalorisation su smic

 

 

La charge de Mélenchon

 

 

Si Jean-Luc Mélenchon avait été élu député, il n'aurait pas voté la confiance au gouvernement Ayrault, mais se serait abstenu.

 

Invité dimanche du «Grand Rendez-Vous Europe 1-i-Télé-Le Parisien», l'ex-candidat du Front de gauche à l'Élysée n'a pas ménagé François Hollande ni Jean-Marc Ayrault.

 

«Les socialistes ont vassalisé les Verts et ils ont essayé de nous écrabouiller», a-t-il dit. Il a jugé «dérisoire» l'hypothèse d'une augmentation de 2 % du smic et plaidé pour «plus de quatre points d'augmentation».

 

Le leader du Parti de gauche a durement critiqué François Hollande qui a «capitulé» devant Angela Merkel sur le traité européen de discipline budgétaire: il y a «victoire par K.-O. du gouvernement allemand CDU-CSU contre le gouvernement socialiste français».

 

Hollande «est en train de se faire avoir, mais avec son consentement», «il est persuadé qu'on peut s'arranger comme il le faisait à la tête du PS», mais face à l'Allemagne, «il faudrait arrêter de raser les murs», a-t-il dit.